On s’enfonce grave coté «zantis», et on répond maladroitement aux arguments par la caricature débile, qui est au débat ce que le Macdo est à la gastronomie: le degré zéro.Dur la choucroute pour pédaler...
Populisme et démagogie quand vous nous tenez!
Ceci dit, en dehors du fait, qu’à ma connaissance, il n’existe pas l’équivalent, produit par des «pros» à l’encontre des «zantis», on relèvera l’intention évidente et particulièrement aimable et bienveillante de blesser et d’humilier.
Comment appelle t-on cela déjà? Sa…sad… Ah oui, sadisme! Mais un sadisme exercé contre des humains, ce qui semblerait mieux et plus justifié que contre des animaux selon l’auteur.
Qui disait déjà que lorsque l’on commence à traiter les Hommes comme des animaux, cela finit dans des wagons à bestiaux?
Ceci dit examinons avec humour la représentation fantasmatique qu’un authentique «zanti» se fait d’un aficionado.
Je ne sais pas si vous vous y retrouvez, mais elle en dit plus long sur l’auteur que sur le supposé «objet» (sujet, il ne saurait être, le pauvre) du délit.
De quoi s’agit-il?
D’un beauf bedonnant, chauve (Superdupont peut-être?) mais velu DONC bestial. Bestialité renforcée par le fait qu’avec sa main gauche il s’empoigne le sexe. Bestial et onaniste, victime de pulsions malsaines et sûrement incontrolées.
Nous ne manquerons pas non plus de relever le tarin rougeoyant et le litron accessoire. Taré l’aficionado! Et alcoolique de surcroît! Exemplaire pitoyable d’une humanité dégénérée. Syphilitique? Peut-être et sans doute…
On se croirait revenu aux beaux jours des caricatures de Gringoire ou de l’expo du «Juif et la France», c'est du même tonneau. Vous ne lui trouveriez pas un petit air sémite, avec ce long nez qui rejoint la bouche?
Le texte également vaut l’analyse. Tant dans sa formulation assez bizarre et inusitée, que dans l’importance accordée par la mise en gras et la typographie de certains termes. «Devant», «sang», «devenez», «aficionado», «passion», «surtout».
Je ne me risquerais pas à dévoiler ici, ce que ces «signifiants» m’inspirent, et chacun pourra se questionner à ce sujet, mais sa hantise du SANG ainsi dévoilée par Monsieur HELY en dit long…
Bien sûr tout cela n’est sûrement pas intentionnel, tout au plus très révélateur des parts d’ombre et de fantasme de Monsieur HELY, et surtout de son désir effréné, mais violemment réprimé d’en «devenir» un, d’aficionado.
Ceci dit, en dehors du fait, qu’à ma connaissance, il n’existe pas l’équivalent, produit par des «pros» à l’encontre des «zantis», on relèvera l’intention évidente et particulièrement aimable et bienveillante de blesser et d’humilier.
Comment appelle t-on cela déjà? Sa…sad… Ah oui, sadisme! Mais un sadisme exercé contre des humains, ce qui semblerait mieux et plus justifié que contre des animaux selon l’auteur.
Qui disait déjà que lorsque l’on commence à traiter les Hommes comme des animaux, cela finit dans des wagons à bestiaux?
Ceci dit examinons avec humour la représentation fantasmatique qu’un authentique «zanti» se fait d’un aficionado.
Je ne sais pas si vous vous y retrouvez, mais elle en dit plus long sur l’auteur que sur le supposé «objet» (sujet, il ne saurait être, le pauvre) du délit.
De quoi s’agit-il?
D’un beauf bedonnant, chauve (Superdupont peut-être?) mais velu DONC bestial. Bestialité renforcée par le fait qu’avec sa main gauche il s’empoigne le sexe. Bestial et onaniste, victime de pulsions malsaines et sûrement incontrolées.
Nous ne manquerons pas non plus de relever le tarin rougeoyant et le litron accessoire. Taré l’aficionado! Et alcoolique de surcroît! Exemplaire pitoyable d’une humanité dégénérée. Syphilitique? Peut-être et sans doute…
On se croirait revenu aux beaux jours des caricatures de Gringoire ou de l’expo du «Juif et la France», c'est du même tonneau. Vous ne lui trouveriez pas un petit air sémite, avec ce long nez qui rejoint la bouche?
Le texte également vaut l’analyse. Tant dans sa formulation assez bizarre et inusitée, que dans l’importance accordée par la mise en gras et la typographie de certains termes. «Devant», «sang», «devenez», «aficionado», «passion», «surtout».
Je ne me risquerais pas à dévoiler ici, ce que ces «signifiants» m’inspirent, et chacun pourra se questionner à ce sujet, mais sa hantise du SANG ainsi dévoilée par Monsieur HELY en dit long…
Bien sûr tout cela n’est sûrement pas intentionnel, tout au plus très révélateur des parts d’ombre et de fantasme de Monsieur HELY, et surtout de son désir effréné, mais violemment réprimé d’en «devenir» un, d’aficionado.
Moi aussi, je vous aime Monsieur HELY…
Xavier KLEIN
NOTA: Si je suis certes bedonnant, je ne suis ni chauve, ni glabre, ni juif, ni alcoolique. Nul doute que Fédérico Lorca, Michel Leiris ou Jean Cocteau, entre autres, se seraient reconnus aussi dans ce délicieux et réaliste portrait.
Au fait, il n’y a plus de corridas à Rieumes: encore un fantasme!!!
Au fait, il n’y a plus de corridas à Rieumes: encore un fantasme!!!
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10 commentaires:
merde, xavier, tu n'aspas compris? c'est de l'humour!
Nous sommes ici en présence d'un travail sale, labourieux, peu maitrisé, mal foutu, sans technique, vide, et tellement maladroit, grossier et vulgaire ( je ne parle même pas du sujet ). Même dans les pires propagandes que l'Humanité a connu, on a eu l'intelligence de faire passer le message ( aussi ignoble qu'il fut parfois) par les mains les plus habiles. Une question de séduction, sans doute. Hely est peut etre le seul à imaginer qu'on arrive encore à séduire les masses, même les plus faibles d'esprit, en exposant un vieux slip dégueulasse.
Ca me conforte dans l'idée que l'Aficion a au moins la vertue du bon goût et de la subtilité.
XK : « Ceci dit, en dehors du fait, qu’à ma connaissance, il n’existe pas l’équivalent, produit par des «pros» à l’encontre des «zantis», on relèvera l’intention évidente et particulièrement aimable et bienveillante de blesser et d’humilier.
Comment appelle t-on cela déjà? Sa…sad… Ah oui, sadisme! Mais un sadisme exercé contre des humains, ce qui semblerait mieux et plus justifié que contre des animaux selon l’auteur. »
A vous lire, il faut interdire d'urgence le Canard et Charlie, et embastiller sans délai Charb et Plantu.
Au cas où ça vous aurait échappé, le propre d'une caricature est d'être caricaturale.
L'un des objets d'une caricature est de « blesser », si vous voulez, mais je préfère de loin cette forme d'expression de l'agressivité, à l'emploi d'armes qui déchirent la chair.
XK : « Qui disait déjà que lorsque l’on commence à traiter les Hommes comme des animaux, cela finit dans des wagons à bestiaux?
(...)
On se croirait revenu aux beaux jours des caricatures de Gringoire ou de l’expo du «Juif et la France», c'est du même tonneau. Vous ne lui trouveriez pas un petit air sémite, avec ce long nez qui rejoint la bouche? »
Caricaturer un groupe pour ce qu'il fait (qu'il s'agisse des amateurs de corrida, des chasseurs, des grands patrons ou des membres du clergé) n'a strictement rien à voir avec la caricature d'un groupe pour ce qu'il est (qu'il s'agisse des Juifs, des Arabes ou des Noirs...)
Cette caricature est tout simplement du même ordre que, par exemple, celles que publie Charlie Hebdo depuis 40 ans à propos des chasseurs, et qui à ma connaissance depuis le temps n'ont tué personne (contrairement aux accidents de chasse).
Et vos références aux «wagons à bestiaux » ou à «l'expo du "Juif et la France" » sont en l'espèce, je vous le dis avec gravité, une insulte à ce qu'ont vraiment enduré les Juifs.
La place que vous laissez à l'expression des opposants dans votre blog, je vous l'ai déjà concédé, est à mettre à votre crédit. Mais il ne faut pas que, ce faisant, vous perdiez le sens de la mesure.
C'est très laid !
lorsque l'on se mêle de caricature, il est plus sage de savoir dessiner.
A l'attention d'Alain Lagorce: manifestement, vu l'émoi inouï qu'a provoqué mon malheureux petit dessin, il est évident qu'il y a quelque chose qui vous parle et dans laquelle vous vous reconnaissez... Il n'y a pas d'autre explication.
Cher Xavier,
Je ne goûte guère cet antiaméricanisme primaire et la comparaison est trop facile pour que je ne la laisse filer sans réagir. Tu as le droit de ne pas aimer les Macdo (où soit dit en passant tu ne mets jamais les pieds or mieux vaut parler de choses que l'on connaît), ceci étant c'est un peu fort de café de dire que c'est le degré zéro de la gastronomie. Toi et moi connaissons assez de lieux pour savoir que l'on y mange bien plus mal qu'au Macdo.
E.N
si vous continuez à faire comme s'il existait enfin, il va falloir le Hély...treuillez le titi, fat of the fat se voyant provoquer les dézémoizinouïs de par sa livraison plastique de l'aficiocrado. et il a raison, j'en connais plein des comme ça, ils existent , ne nous leurrons pas, sur les gradins. qui ne l'a jamais rencontré ne va pas aux arènes. ni au stade, ni au concert, ni dans le barrio santa cruz en plein été, ni à la plage, ni... c'est plutôt réussi. un auto-portrait perhaps ?
allez, hold on tit', hold on.
ludo
ludo
Il faut beaucoup d'intelligence pour répondre a un con avec des mots qu'il puisse comprendre,c'est ce qu'a voulu faire monsieur Hély je pense.
Tout simplement par le biais d'une simple caricature il exprime ce que vous vous efforcez de faire a grand renfort des grandes phrases et de références douteuses a des épisodes bien tristes de l'histoire.Votre seul but étant de jetter le discrédit sur quiconque ose remettre en question votre goût pour la tauromachie.Il vous faut employer toutes vos connaissances,votre niveau d'instruction,votre formation de professeur pour répondre a des gens qui simplement se permettent de remettre en cause la légitimité de ce que vous qualifiez d'art.
Vous avez besoin d'un sacré arsenal pour faire face a la pertinence la plus élémentaire.Est-ce si bon que celà de se donner de l'importance,de se hisser tant bien que mal sur un pied d'estale en écrasant les autres de tout son poids?
Paul Lefevre.
C'est vrai il n'y a pas que des ploucs qui aiment la corridas. je connais des gens très bien qui y vont par plaisir. Ces gens sont parfois agrégés d'histoire, traducteurs aux nations unies, chrirugiens plastiques, notaires...je pense que ces gens partagent au moins une caractéristique commune: absence de compassion. j'estime aussi qu'il est nécessaire d'avoir un brun de sadisme pour apprécier et supporter un tel spectacle. qu'est ce qui fait que certain ne peuvent pas soutenir une telle violence et que d'autres y voient de la beauté et de l'art?
celui qui dit que c'est très laid l'est car c'est son portrait. Le coup du dessin petainiste, faudrait aussi le faire à Cabu et autres géniaux caricaturistes. Rien à voir, le beauf ressemble à bcp de beaufs, mais c'est un choix de l’être, pas une essence. Vous voudriez qu'on vous montre beaux? Ben faut le mériter, faites en le choix! la beauté ne peut rien contre une âme sale et répugnante de cruauté. On peut juste masquer l'horreur comme vous croyez le faire en déguisant vos bouchers.
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