Le jour de l'armistice, la mouche voletait, sinon gracieusement -surcharge pondérale oblige- du moins sereinement, dans les parages saint-séverins.
Outre l'avantage d'y passer un agréable moment, la mouche vaquait aussi à son ouvrage, puisque s'y tenaient les assises de l'association des «organisateurs de corridas et novilladas du Sud-ouest» où la mouche représentait, en bonne et digne compagnie, l'honorable plaza d'Orthez.
La mouche a beau se montrer souvent joueuse, elle sait quand même se poser pour longuement nettoyer ses petites papattes et fermer sa grande gueule, quand sa fonction lui impose un devoir de réserve. En conséquence, la mouche n'envisageait pas d'évoquer une réunion, dont le caractère, sinon confidentiel, imposait du moins une certaine retenue. Et pourtant, il y avait à dire!
Certains n'ont pas de ces pudeurs, ce qui relève la mouche du devoir de réserve et de discrétion auquel elle s'était (difficilement) contrainte.
L'inénarrable et omniprésent président de l'O.C.T., n'a en effet pas pu s'empêcher de s'y imposer et, non content d'intervenir en tant qu'invité au titre du machin, d'en relater les détails sur Terres Taurines, avec coup de griffe à l'appui («Orthez qui annonce une novillada piquée le matin de sa corrida des fêtes plus une portugaise en juin (bonjour les impôts l'an prochain!)». Article «La temporada 2009 en Aquitaine» du 12/11/2008 http://www.terrestaurines.com/forum/actus/actu.php.
A priori, la mouche n'assistait à cette réunion que pour traiter, avec d'autres organisateurs du sud-ouest, de diverses questions: remises des prix des novilladas piquées, problèmes posés par la présence des chirurgiens taurins (le vivier se restreint et les assurances spécifiques pèsent dans les budgets), calendrier prévisionnel de la temporada, etc.).
Ce dernier point permet une meilleure coordination et d'éviter des chevauchements fâcheux de dates. Fallait-il y donner écho, alors qu'il reste susceptible de transformations et que les commissions taurines en sont à une phase préparatoire? La mouche en fût fort marrie: elle eût préféré l'annoncer elle même à Orthez, quand le temps en serait venu. La mouche avait naïvement oublié que le président de l'Observatoire était également journaliste -ou prétendu tel- et qu'il ne savait pas cloisonner ses divers rôles.
A ce propos, on le savait juriste inachevé, boxeur demi-finaliste, artiste approximatif, torero raté, syndicaliste taurin au petit pied, organisateur funeste, cultivateur de feuilles de choux, photographe, entrepreneur en démolition de la pique, lobbyiste, avocat des intérêts financiers du mundillo, expert économiste es marché taurin, on a pu constater qu'il avait d'autres cordes à son arc.
Dans un de ces extraordinaires numéros d'auto-congratulation dont il conserve jalousement le secret, le cher André nous a confié ses autres talents: conseiller d'état, qui a l'oreille du Premier Ministre (qu'il peut contacter en 4h...), conseiller technique du ministère de l'Intérieur, avec qui il collabore étroitement au niveau des Renseignements Généraux, agent secret qui infiltre les mouvements anti-corridas et y place ses taupes, diplomate qui s'intronise grand mamamouchi de la tauromachie française en Espagne. Authentique! Cela ne s'invente pas!
Par delà la malodorance éthique d'un Président qui semble se complaire dans des activités douteuses de basse police, la mouche interpelle toutefois les éminences de l'O.C.T. sur la pertinence et le bien fondé de cautionner les dérives paranoïaques de Dédé, qui ne peuvent à terme, que desservir et discréditer les intérêts de la tauromachie, quand les interlocuteurs auront appréhendé toutes les facettes du personnage.
Quand ce dernier, incapable de distinguer ses affects de sa fonction, pour le plaisir de donner un coup de tapette (à tous les sens du terme) à la mouche et de régler bassement un compte personnel, se permet dans son article de souligner à propos d'Orthez: «bonjour les impôts l'an prochain!», alors qu'il devrait se réjouir des initiatives propres à promouvoir la tauromachie en Béarn, on n'a plus à se questionner, on "éparpille façon puzzle".
La mouche fait partie de la corporation des Bactrocera oleae, ou mouche de l'olive, commune dans les campos. A ne pas confondre avec la Phaenicia sericata (mouche verte) ou la Scatophaga furcata (trivialement nommée mouche à merde).
La mouche butine volontiers les bouses de bétail brave, encasté et limpio mais se désintéresserait complètement des étrons, fussent-ils soustonnais, si ceux-ci ne venaient encombrer le paysage taurin avec ostentation et insistance, et à polluer les débats dans une période difficile.
Outre l'avantage d'y passer un agréable moment, la mouche vaquait aussi à son ouvrage, puisque s'y tenaient les assises de l'association des «organisateurs de corridas et novilladas du Sud-ouest» où la mouche représentait, en bonne et digne compagnie, l'honorable plaza d'Orthez.
La mouche a beau se montrer souvent joueuse, elle sait quand même se poser pour longuement nettoyer ses petites papattes et fermer sa grande gueule, quand sa fonction lui impose un devoir de réserve. En conséquence, la mouche n'envisageait pas d'évoquer une réunion, dont le caractère, sinon confidentiel, imposait du moins une certaine retenue. Et pourtant, il y avait à dire!
Certains n'ont pas de ces pudeurs, ce qui relève la mouche du devoir de réserve et de discrétion auquel elle s'était (difficilement) contrainte.
L'inénarrable et omniprésent président de l'O.C.T., n'a en effet pas pu s'empêcher de s'y imposer et, non content d'intervenir en tant qu'invité au titre du machin, d'en relater les détails sur Terres Taurines, avec coup de griffe à l'appui («Orthez qui annonce une novillada piquée le matin de sa corrida des fêtes plus une portugaise en juin (bonjour les impôts l'an prochain!)». Article «La temporada 2009 en Aquitaine» du 12/11/2008 http://www.terrestaurines.com/forum/actus/actu.php.
A priori, la mouche n'assistait à cette réunion que pour traiter, avec d'autres organisateurs du sud-ouest, de diverses questions: remises des prix des novilladas piquées, problèmes posés par la présence des chirurgiens taurins (le vivier se restreint et les assurances spécifiques pèsent dans les budgets), calendrier prévisionnel de la temporada, etc.).
Ce dernier point permet une meilleure coordination et d'éviter des chevauchements fâcheux de dates. Fallait-il y donner écho, alors qu'il reste susceptible de transformations et que les commissions taurines en sont à une phase préparatoire? La mouche en fût fort marrie: elle eût préféré l'annoncer elle même à Orthez, quand le temps en serait venu. La mouche avait naïvement oublié que le président de l'Observatoire était également journaliste -ou prétendu tel- et qu'il ne savait pas cloisonner ses divers rôles.
A ce propos, on le savait juriste inachevé, boxeur demi-finaliste, artiste approximatif, torero raté, syndicaliste taurin au petit pied, organisateur funeste, cultivateur de feuilles de choux, photographe, entrepreneur en démolition de la pique, lobbyiste, avocat des intérêts financiers du mundillo, expert économiste es marché taurin, on a pu constater qu'il avait d'autres cordes à son arc.
Dans un de ces extraordinaires numéros d'auto-congratulation dont il conserve jalousement le secret, le cher André nous a confié ses autres talents: conseiller d'état, qui a l'oreille du Premier Ministre (qu'il peut contacter en 4h...), conseiller technique du ministère de l'Intérieur, avec qui il collabore étroitement au niveau des Renseignements Généraux, agent secret qui infiltre les mouvements anti-corridas et y place ses taupes, diplomate qui s'intronise grand mamamouchi de la tauromachie française en Espagne. Authentique! Cela ne s'invente pas!
Par delà la malodorance éthique d'un Président qui semble se complaire dans des activités douteuses de basse police, la mouche interpelle toutefois les éminences de l'O.C.T. sur la pertinence et le bien fondé de cautionner les dérives paranoïaques de Dédé, qui ne peuvent à terme, que desservir et discréditer les intérêts de la tauromachie, quand les interlocuteurs auront appréhendé toutes les facettes du personnage.
Quand ce dernier, incapable de distinguer ses affects de sa fonction, pour le plaisir de donner un coup de tapette (à tous les sens du terme) à la mouche et de régler bassement un compte personnel, se permet dans son article de souligner à propos d'Orthez: «bonjour les impôts l'an prochain!», alors qu'il devrait se réjouir des initiatives propres à promouvoir la tauromachie en Béarn, on n'a plus à se questionner, on "éparpille façon puzzle".
La mouche fait partie de la corporation des Bactrocera oleae, ou mouche de l'olive, commune dans les campos. A ne pas confondre avec la Phaenicia sericata (mouche verte) ou la Scatophaga furcata (trivialement nommée mouche à merde).
La mouche butine volontiers les bouses de bétail brave, encasté et limpio mais se désintéresserait complètement des étrons, fussent-ils soustonnais, si ceux-ci ne venaient encombrer le paysage taurin avec ostentation et insistance, et à polluer les débats dans une période difficile.
Un point positif toutefois, grâce aux accointances barbouzardes de A.V. la mouche est désormais certaine de figurer dans le fichier Edwige, sans doute comme dangereuse agitatrice taurine... La rançon de la célébrité!
5 commentaires:
Vous apparaissez donc cher bloggeur comme étant en Bzz-Bzzz avec ce monsieur quoi... !
Il n'en rate pas une Monsieur de montrer son profil quasi juvenile et de s'imposer ou que soit ,il prend derechef la parole concerné ou pas en tous cas il le croit et nous prend pour des cons nous les humbles qui payont notre ecot à une tradition qu'il veut la sienne.
Je vous rassure cet aprem j'ai looké 30 sites tras los montes et ninguna OCT, s'en tapent car l'art taurin necessite inoxerablement des toros et des toreros,le reste c'est de la contrefacon clinquante.........
mais sans un pouce de oro.
Egzzzzactement!
zzzenzzazzionnel....
comme le déplore monsieur lagorce ex sprinter et écrivain talentueux, dans sud ouest ce jour, pour un hymne à desgarbado, relayé d'ailleurs par monsieur bourg, vous faites preuve de "méchanceté, vous, "nous?" les "ayatollah". pourtant jean cau l'avait averti, merde quoi, on n'est pas n'importe qui, de la dureté de ce milieu, pire encore que le littéraire, et dieu sait que le par ailleurs très talentueux monsieur cau s'y entendait en vacherie et en mauvaise foi tout aussi talentueuse.
il faudra bien tout de même recentrer le discours sur ce qui fait débat, "la tauromachie moderne" et ses trucages et ses supericialités et "le toro artiste moderne" qui pourraient bien mener la corrida à sa destruction pure et simple, lorsque les effets euphorisants et "taquileros" de ces vagues de "triomphes" de pacotille et d' "indultos" en carton maché seront retombés comme des soufflets nauséabonds.
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