Je ne connaissais pas particulièrement Jean-Jacques BAYLACQ.
A l'occasion, nous nous sommes croisés, serré les paluches, échangé quelques mots de courtoisie. Est-ce suffisant pour parler d'un homme?
Je perçois pourtant combien sa disparition trouble et peine nombre d'aficionados, ce qui ne saurait laisser indifférent.
Jean-Jacques BAYLACQ incarne également l'épopée vicoise, l'aventure d'un village gascon qui a su jouer avec intelligence, rigueur, audace et surtout éthique la carte d'une tauromachie authentique qui ne renonce pas à des exigences. Cela aussi ne saurait laisser indifférent.
Si un homme vaut par ses actes, Jean-Jacques BAYLACQ aura largement mérité d'arpenter ad vitam eternam le campo céleste.
Toute notre sympathie aux siens, à ses amis et à l'organisation vicoise.
R.I.P.*
RECTIFICATION POSTERIEURE: Un lecteur aimable et attentif me fait remarquer qu'il convient d'écrire Baylac et non Baylacq. L'erreur étant commise, je l'assumerai, comme Pilate («Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit.» Jn 19:22). Que personne n'en soit offensé.
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