Dédié à mon cousin et ami de la Peña Campo Charro de Dax avec mes regrets (il comprendra).
Il paraîtrait aux dernières nouvelles (http://www.terrestaurines.com/forum/actus/01-04-10/06-04-102.php) que la bonne ville d’Orthez est le berceau nauséabond de toutes les vilenies, le nid de vipères lubriques qui pollue le monde taurin, Sodome, Gomorrhe et Capoue réunies.
On y fomenterait des cabales aussi pernicieuses qu’anti-miuresques.
Foutredieu! Je savais que Gaston Fébus y avait connu quelques avanies lors de ses villégiatures, qu’on y avait défenestré quelques calottes catholiques depuis le Pont Vieux pendant les guerres de religion, et même, horreur! que l’on y a programmé des Montesinos l’année dernière, mais une «cabale nauséabonde» à Orthez???
On cabalait et je n’en savais rien!
Que font les renseignements généraux?
Et la S.P.A.?
Et les services secrets de l’O.N.C.T. ?
Heureusement qu’il reste en ce bas monde taurin quelques âmes charitables et surtout bien intentionnées pour informer «qui de droit» (ou plutôt «de droite», voire «d’extrême droite»).
Depuis deux ans, l’accumulation des désinformations ou des griefs aidant, j’aurais pu dépêcher quelque avocat pour demander un droit de réponse, c’est très mode semble t-il ces derniers temps.
Mais ce n’est guère dans mon éthique, et puis, en dépit de l’érosion du temps, je conserve quelques bribes d’un sens en perdition: celui du ridicule.
Toutefois, je dois avouer avoir été fort surpris.
D’une part, je m’étais convaincu que la plaza d’Orthez n’existait pas.
En effet, dans certains sites d’information taurine on annonçait systématiquement tous les cartels, surtout ceux des grandes ferias qui payent comptant en bonnes espèces sonnantes et trébuchantes. Il n’est de bonne tauromachie qu’onéreuse. Mais d’Orthez, on ne parlait pas. Bizarre! Bizarre!
D’autre part, lorsqu’on mit en cause la maison Miura à l’automne (ce qui est le droit inaliénable de tout un chacun en aficion et à fortiori en république), la seule voix orthezienne qui se manifesta à ma connaissance fût la mienne (cf. commentaires dans http://camposyruedos2.blogspot.com/2009/08/miura-sinverguenza.html http://camposyruedos2.blogspot.com/2009/08/toujours-au-detour-dune-conversation.html) pour prendre la défense des intéressés et de l’organisation bayonnaise.
Y aurait-il à Orthez pire Satan que votre serviteur?
Je ne puis raisonnablement le croire.
Mais la raison a t-elle encore quelque place dans cette misérable affaire, quand la bêtise et la malfaisance en parviennent au point de se risquer à faire tort et à salir une ville pour solder des basses vengeances?
Rions donc pour ne pas avoir à en pleurer.
Il paraîtrait aux dernières nouvelles (http://www.terrestaurines.com/forum/actus/01-04-10/06-04-102.php) que la bonne ville d’Orthez est le berceau nauséabond de toutes les vilenies, le nid de vipères lubriques qui pollue le monde taurin, Sodome, Gomorrhe et Capoue réunies.
On y fomenterait des cabales aussi pernicieuses qu’anti-miuresques.
Foutredieu! Je savais que Gaston Fébus y avait connu quelques avanies lors de ses villégiatures, qu’on y avait défenestré quelques calottes catholiques depuis le Pont Vieux pendant les guerres de religion, et même, horreur! que l’on y a programmé des Montesinos l’année dernière, mais une «cabale nauséabonde» à Orthez???
On cabalait et je n’en savais rien!
Que font les renseignements généraux?
Et la S.P.A.?
Et les services secrets de l’O.N.C.T. ?
Heureusement qu’il reste en ce bas monde taurin quelques âmes charitables et surtout bien intentionnées pour informer «qui de droit» (ou plutôt «de droite», voire «d’extrême droite»).
Depuis deux ans, l’accumulation des désinformations ou des griefs aidant, j’aurais pu dépêcher quelque avocat pour demander un droit de réponse, c’est très mode semble t-il ces derniers temps.
Mais ce n’est guère dans mon éthique, et puis, en dépit de l’érosion du temps, je conserve quelques bribes d’un sens en perdition: celui du ridicule.
Toutefois, je dois avouer avoir été fort surpris.
D’une part, je m’étais convaincu que la plaza d’Orthez n’existait pas.
En effet, dans certains sites d’information taurine on annonçait systématiquement tous les cartels, surtout ceux des grandes ferias qui payent comptant en bonnes espèces sonnantes et trébuchantes. Il n’est de bonne tauromachie qu’onéreuse. Mais d’Orthez, on ne parlait pas. Bizarre! Bizarre!
D’autre part, lorsqu’on mit en cause la maison Miura à l’automne (ce qui est le droit inaliénable de tout un chacun en aficion et à fortiori en république), la seule voix orthezienne qui se manifesta à ma connaissance fût la mienne (cf. commentaires dans http://camposyruedos2.blogspot.com/2009/08/miura-sinverguenza.html http://camposyruedos2.blogspot.com/2009/08/toujours-au-detour-dune-conversation.html) pour prendre la défense des intéressés et de l’organisation bayonnaise.
Y aurait-il à Orthez pire Satan que votre serviteur?
Je ne puis raisonnablement le croire.
Mais la raison a t-elle encore quelque place dans cette misérable affaire, quand la bêtise et la malfaisance en parviennent au point de se risquer à faire tort et à salir une ville pour solder des basses vengeances?
Rions donc pour ne pas avoir à en pleurer.
Xavier KLEIN
7 commentaires:
Muy bien,senor Klein.
Je crois que ce type est de plus en plus parano,mégalo...
Muy bien,mais "por favor",de grâce,pas de politique,pas de gauche ,droite...On en soupe assez comme ça!
Por favor.
manolo
Certes Señor Manolo,
La politique politicienne NE DEVRAIT PAS avoir à faire avec la tauromachie, et la tauromchie ne devrait pas devenir un enjeu politique, j'en conviens tout à fait.
Mais alors qu'on cesse de nous asséner un crypto discours politique qui ne peut que faire réagir ceux qui ne le partagent nullement.
C'est tout ce que je demande.
Ayant suffisamment manifesté mon point de vue sur ce sujet, j'espère pouvoir revenir sur des sujets plus profonds, et somme toute plus intéressants.
Xavier,
Dans ma Camargue natale, on raconte (anecdote datant de l'entre-deux-guerres) que le Marquis de BARONCELLI ("Lou Marques", ami de Frédéric MISTRAL, grand "mainteneur" et manadier) amenant un jour une course dans un village, en fut empêché au motif que la municipalité avait changé de couleur politique. S'adressant aux empêcheurs, le Marquis leur dit à peu près (le provençal est assez facile pour gens du Sud...): "Li biou ne soun ni rouge ni blanc, soun negre"!
Suerte para Orthez - Bernard
cher xavier, pour revenir à des choses intelligentes, lire ABSOLUMENT "un matin à séville" d'Antoine Beauchamp chez "signes du toro" de Monsieur Mariou.
Ce garçon, dont uin certain artticle ma manque toujours, senor Mariou a du TALENT.
son dernier, tout simplement talentueux et magnifique.
ole!
apoyo desde la barra del ciego , don xavier.
suerte para orthez ( l'affiche est "mù bien" ).
abrazo.
ludo
A Orthez serait donc la Moutête ...de Turc?
B.D
de ces terres rouges, couleurs aussi de larmes séchées et bues, tu le sais, je penseari à toi et à vous.
Enregistrer un commentaire