«Le Verger» Saadi
«Un bon maître a ce souci constant: enseigner à se passer de lui»
«Journal» André Gide
Je n'ai jamais cessé de m'interroger sur la fascination qu'exerçait sur bon nombre d'aficionados, de chroniqueurs, ou de têtes pensantes (le mot est sans doute mal choisi) du mundillo, la «valse des apoderados».
Un des spécimens d'humanoïde les plus distrayants à rencontrer sur la planète des toros, ce sont ces manières de gothas ambulants qui jouissent d'un sentiment de supériorité à pouvoir dans un titanesque effort de mémorisation qu'ils pensent indépassables, vous citer qui est avec qui, qui a changé, pourquoi, à quelles conditions, etc.
La mémoire et la compilation se substituant à l'intelligence ou à l'analyse, témoignent d'une activité neuronale certes, mais l'empilement d'informations, surtout lorsqu’elles sont dérisoires fait les bons ordinateurs et les braves imbéciles.
On les reconnaît le plus souvent à leur cri de guerre: «Tu l'as su?» et le moment le plus croustillant de leur commerce s'accomplit dans le regard triomphateur, nettement méprisant et vaguement réprobateur qu'ils se croient obligés de vous asséner quand «- Vous ne le sûtes pas». Y a t-il plus grande volupté en ce bas monde que de laisser à un con le sentiment illusoire de sa victoire et de sa supériorité?
En ce qui me concerne, je n'ai jamais trouvé quelque intérêt à savoir si telle ou telle figura était avec Machinito, Trucmucho ou la «Casa Jamonera».
Tout au plus le volume des «flux commerciaux» indique t-il que ça grenouille dur dans le merdier, ce qui peut être un bon indicateur du climat actuel des marchés taurins.
En règle générale, qu'est-ce qu'un apoderado?
Le dictionnaire espagnol nous indique: «Persona que tiene poder o permiso de otra para representarla y actuar en su nombre. sinónimos: encargado de negocios, delegado, mandatario, representante, comisionado, administrador, poderhabiente, tutor, manager». Est-il besoin de traduire?
La définition nous renseigne sur l'acception juridico-financière du terme et tourne autour de la notion d'un PODER, d'un pouvoir délégué.
Peut-être trouvons-nous là l'explication de l'intérêt monomaniaque des cons susnommés: le POUVOIR, objet de leur récurrente fascination? Non pas quelqu'un qui vous apprenne le pouvoir, mais quelqu'un à qui vous le déléguez. L'apoderado est de fait, quelqu'un à qui on s’en remet pour prendre des décision ou des responsabilités à votre place ou pour vous représenter.
Dans le domaine des arts, il y eût au fil des âges, de ces guides, de ces mécènes, de ces directeurs de galerie, de ces éditeurs qui savaient avec finesse et empathie, guider l'artiste, l'orienter, le porter à se dépasser, lui éviter les impasses, le ragaillardir dans la déprime.
Pour ce faire, il fallait des qualités exceptionnelles d'intelligence, de psychologie et d'une vertu qu'on a malheureusement enterrée, le discernement.
En fait, il fallait ce qu'on appelle un Maître, ou sous d'autres cieux, un senseï ou un gourou. Le problème, c'est que depuis la Renaissance, on n'a cessé dans notre bonne vieille Europe, de combattre les Maîtres et de les dévaloriser. Ce lent mouvement d'usure s'est accentué avec les Lumières, s'est accéléré avec la Révolution Française, a triomphé avec l'industrialisation et s'est achevé avec Mai 68 où l'on a renversé les estrades en Sorbonne au nom de la démocratisation, de l'interdiction de l'interdiction, et du jouissez sans entraves.
Qu'on me comprenne bien, je ne suis pas de ces réactionnaires qui font actuellement le procès très tendance du joli mois de mai ou des épisodes révolutionnaires de notre évolution. Mais, en historien qui s'efforce de ne pas porter un regard moral, je constate simplement que les progrès portent leurs contraires, et que comme l'aurait dit Maître Dac: «L'air frais et vivifiant de 68 a emporté le bébé avec l'eau du bain.».
Il n'aura échappé à personne, qu'avant 68, on faisait «ses humanités». Et là est toute l'affaire, car le mot humanité disparaît complètement d'une instruction qui, en dépit d'un dernier vernis, ne vise plus qu'à l'utilitaire et à l'économiquement rentable.
Je m'entretenais hier avec un jeune novillero qui envisage de passer son alternative. Ce jeune homme intelligent, sensible et motivé me téléphone toutes les semaines pour me rendre dépositaire de ses doutes et de son désarroi. Il est conscient de ses manques, de ses imperfections tant techniques que morales ou psychologiques. Où apprendre? A qui remettre sa confiance? Qui peut, avec sagesse, compétence et désintéressement le guider, le conseiller, l'enseigner? C'était à pleurer.
La transmission du savoir, c'est le rôle des Maîtres. Dans toutes les civilisations traditionnelles, l'élève donne sa confiance et paye avec sa volonté pour mériter l'enseignement. Dans les arts martiaux, un Maître accepte son élève en fonction, non de ses aptitudes, mais de sa motivation. Les récits nombreux font état de ces aspirants qui sont restés prosternés 3, 4 jours, une semaine dans la neige dans l'espoir que la porte du dojo s'ouvre et qu'ils y soient admis. Les vieux maîtres n'agissaient pas ainsi par mépris, ou par inhumanité, mais pour évaluer le degré de motivation et la force d'âme du candidat.
Par la suite, le maître porte l'élève à se trouver, il est l'accoucheur de conscience qui enseigne: «Deviens ce que tu es». L'élève, en plusieurs années devient lui même un maître. Parfois un «petit maître», rarement un «grand maître», le plus souvent il retourne à la vie, enrichi de son cheminement. Mais nul n'est laissé à lui-même, à moins qu'il ne l'ait voulu.
Rien de ce genre dans le mundillo moderne. On prend un jeune homme qui paraît doué, on l'exploite, on le pressure, on le flatte, on lui évite soigneusement les observations ou les remarques qui pourraient le faire progresser. Mieux, on le maintient dans la dépendance et la tutelle. On le satisfait de triomphes à bon marché, de trophées faciles et vains. En France, on lui garantit un marché clôt, en faisant jouer la franchouillarderie, le réflexe «de la tierra», les connivences. On lui réserve les lots faciles, ceux où il pourra triompher à bon compte, réciter sa leçon, réaliser ses rêves de faenas dérisoires. En un mot on le découple de la réalité impitoyable d’un métier écrasant, de la compétition terrible, des exigences du combat. Un toro le met-il en échec? Il ne peut qu’être décasté! Une critique vient-elle à poindre? Ce sont des malfaisants, des ignorants ou mieux des ayatollahs!
Un apprenti devient non pas un espoir mais un investissement financier qu'il convient de gérer au mieux et de faire fructifier à bon compte et à court terme; un produit périssable à durée de vie limitée et date de péremption incertaine. Qu’importe qu’il faillisse, d’autres le remplaceront! On ne considère pas le jeune humain en devenir, l’homme qu’il convient d’éduquer, mais le talent qui rapporte, le profit possible, la gloire prévisible, modelés dans la sueur, le sang et la peur de l’arène, dans l’éphémère illusion de succès sans lendemains.
Combien se sont noyés, combien se sont irrémédiablement perdus dans la jungle du mundillo, égarés par de mauvais guides préoccupés de leurs intérêts plus que de ceux de leurs pupilles? Nous connaissons tous de ces pauvres hères dont les rêves déchus gisent, brisés, dans l’oisiveté, l’alcool ou la drogue, qui ne se sont jamais résolus à un échec auquel on ne les avait pas préparés, au contraire.
Former un torero ce n’est malheureusement quasiment jamais former un homme. Ne s’improvise pas pédagogue qui veut! La désolation dans ce métier, mais n’est-ce pas aussi le reflet de notre temps, c’est l’absence ou le déficit de personnalités capables par leur savoir et par leur humanité d’aider des jeunes (et des moins jeunes) à grandir et à devenir libres, c’est à dire à s’affranchir du POUVOIR qu’on exerce sur eux.
Des A-PODERADOS (préfixe privatif A) seraient préférables à des APODERADOS. Il n’en est rien, et ce n'est pas près de changer.
On comprendra alors que peu me chaut de savoir qui plumera qui? Qui s'enrichira avec qui? Qui profitera de qui? Faut-il absolument se divertir de l’indigence humaine?
Un des spécimens d'humanoïde les plus distrayants à rencontrer sur la planète des toros, ce sont ces manières de gothas ambulants qui jouissent d'un sentiment de supériorité à pouvoir dans un titanesque effort de mémorisation qu'ils pensent indépassables, vous citer qui est avec qui, qui a changé, pourquoi, à quelles conditions, etc.
La mémoire et la compilation se substituant à l'intelligence ou à l'analyse, témoignent d'une activité neuronale certes, mais l'empilement d'informations, surtout lorsqu’elles sont dérisoires fait les bons ordinateurs et les braves imbéciles.
On les reconnaît le plus souvent à leur cri de guerre: «Tu l'as su?» et le moment le plus croustillant de leur commerce s'accomplit dans le regard triomphateur, nettement méprisant et vaguement réprobateur qu'ils se croient obligés de vous asséner quand «- Vous ne le sûtes pas». Y a t-il plus grande volupté en ce bas monde que de laisser à un con le sentiment illusoire de sa victoire et de sa supériorité?
En ce qui me concerne, je n'ai jamais trouvé quelque intérêt à savoir si telle ou telle figura était avec Machinito, Trucmucho ou la «Casa Jamonera».
Tout au plus le volume des «flux commerciaux» indique t-il que ça grenouille dur dans le merdier, ce qui peut être un bon indicateur du climat actuel des marchés taurins.
En règle générale, qu'est-ce qu'un apoderado?
Le dictionnaire espagnol nous indique: «Persona que tiene poder o permiso de otra para representarla y actuar en su nombre. sinónimos: encargado de negocios, delegado, mandatario, representante, comisionado, administrador, poderhabiente, tutor, manager». Est-il besoin de traduire?
La définition nous renseigne sur l'acception juridico-financière du terme et tourne autour de la notion d'un PODER, d'un pouvoir délégué.
Peut-être trouvons-nous là l'explication de l'intérêt monomaniaque des cons susnommés: le POUVOIR, objet de leur récurrente fascination? Non pas quelqu'un qui vous apprenne le pouvoir, mais quelqu'un à qui vous le déléguez. L'apoderado est de fait, quelqu'un à qui on s’en remet pour prendre des décision ou des responsabilités à votre place ou pour vous représenter.
Dans le domaine des arts, il y eût au fil des âges, de ces guides, de ces mécènes, de ces directeurs de galerie, de ces éditeurs qui savaient avec finesse et empathie, guider l'artiste, l'orienter, le porter à se dépasser, lui éviter les impasses, le ragaillardir dans la déprime.
Pour ce faire, il fallait des qualités exceptionnelles d'intelligence, de psychologie et d'une vertu qu'on a malheureusement enterrée, le discernement.
En fait, il fallait ce qu'on appelle un Maître, ou sous d'autres cieux, un senseï ou un gourou. Le problème, c'est que depuis la Renaissance, on n'a cessé dans notre bonne vieille Europe, de combattre les Maîtres et de les dévaloriser. Ce lent mouvement d'usure s'est accentué avec les Lumières, s'est accéléré avec la Révolution Française, a triomphé avec l'industrialisation et s'est achevé avec Mai 68 où l'on a renversé les estrades en Sorbonne au nom de la démocratisation, de l'interdiction de l'interdiction, et du jouissez sans entraves.
Qu'on me comprenne bien, je ne suis pas de ces réactionnaires qui font actuellement le procès très tendance du joli mois de mai ou des épisodes révolutionnaires de notre évolution. Mais, en historien qui s'efforce de ne pas porter un regard moral, je constate simplement que les progrès portent leurs contraires, et que comme l'aurait dit Maître Dac: «L'air frais et vivifiant de 68 a emporté le bébé avec l'eau du bain.».
Il n'aura échappé à personne, qu'avant 68, on faisait «ses humanités». Et là est toute l'affaire, car le mot humanité disparaît complètement d'une instruction qui, en dépit d'un dernier vernis, ne vise plus qu'à l'utilitaire et à l'économiquement rentable.
Je m'entretenais hier avec un jeune novillero qui envisage de passer son alternative. Ce jeune homme intelligent, sensible et motivé me téléphone toutes les semaines pour me rendre dépositaire de ses doutes et de son désarroi. Il est conscient de ses manques, de ses imperfections tant techniques que morales ou psychologiques. Où apprendre? A qui remettre sa confiance? Qui peut, avec sagesse, compétence et désintéressement le guider, le conseiller, l'enseigner? C'était à pleurer.
La transmission du savoir, c'est le rôle des Maîtres. Dans toutes les civilisations traditionnelles, l'élève donne sa confiance et paye avec sa volonté pour mériter l'enseignement. Dans les arts martiaux, un Maître accepte son élève en fonction, non de ses aptitudes, mais de sa motivation. Les récits nombreux font état de ces aspirants qui sont restés prosternés 3, 4 jours, une semaine dans la neige dans l'espoir que la porte du dojo s'ouvre et qu'ils y soient admis. Les vieux maîtres n'agissaient pas ainsi par mépris, ou par inhumanité, mais pour évaluer le degré de motivation et la force d'âme du candidat.
Par la suite, le maître porte l'élève à se trouver, il est l'accoucheur de conscience qui enseigne: «Deviens ce que tu es». L'élève, en plusieurs années devient lui même un maître. Parfois un «petit maître», rarement un «grand maître», le plus souvent il retourne à la vie, enrichi de son cheminement. Mais nul n'est laissé à lui-même, à moins qu'il ne l'ait voulu.
Rien de ce genre dans le mundillo moderne. On prend un jeune homme qui paraît doué, on l'exploite, on le pressure, on le flatte, on lui évite soigneusement les observations ou les remarques qui pourraient le faire progresser. Mieux, on le maintient dans la dépendance et la tutelle. On le satisfait de triomphes à bon marché, de trophées faciles et vains. En France, on lui garantit un marché clôt, en faisant jouer la franchouillarderie, le réflexe «de la tierra», les connivences. On lui réserve les lots faciles, ceux où il pourra triompher à bon compte, réciter sa leçon, réaliser ses rêves de faenas dérisoires. En un mot on le découple de la réalité impitoyable d’un métier écrasant, de la compétition terrible, des exigences du combat. Un toro le met-il en échec? Il ne peut qu’être décasté! Une critique vient-elle à poindre? Ce sont des malfaisants, des ignorants ou mieux des ayatollahs!
Un apprenti devient non pas un espoir mais un investissement financier qu'il convient de gérer au mieux et de faire fructifier à bon compte et à court terme; un produit périssable à durée de vie limitée et date de péremption incertaine. Qu’importe qu’il faillisse, d’autres le remplaceront! On ne considère pas le jeune humain en devenir, l’homme qu’il convient d’éduquer, mais le talent qui rapporte, le profit possible, la gloire prévisible, modelés dans la sueur, le sang et la peur de l’arène, dans l’éphémère illusion de succès sans lendemains.
Combien se sont noyés, combien se sont irrémédiablement perdus dans la jungle du mundillo, égarés par de mauvais guides préoccupés de leurs intérêts plus que de ceux de leurs pupilles? Nous connaissons tous de ces pauvres hères dont les rêves déchus gisent, brisés, dans l’oisiveté, l’alcool ou la drogue, qui ne se sont jamais résolus à un échec auquel on ne les avait pas préparés, au contraire.
Former un torero ce n’est malheureusement quasiment jamais former un homme. Ne s’improvise pas pédagogue qui veut! La désolation dans ce métier, mais n’est-ce pas aussi le reflet de notre temps, c’est l’absence ou le déficit de personnalités capables par leur savoir et par leur humanité d’aider des jeunes (et des moins jeunes) à grandir et à devenir libres, c’est à dire à s’affranchir du POUVOIR qu’on exerce sur eux.
Des A-PODERADOS (préfixe privatif A) seraient préférables à des APODERADOS. Il n’en est rien, et ce n'est pas près de changer.
On comprendra alors que peu me chaut de savoir qui plumera qui? Qui s'enrichira avec qui? Qui profitera de qui? Faut-il absolument se divertir de l’indigence humaine?
Xavier KLEIN
Pour votre divertissement, un petit conte des budos que j'aime bien.
Boduken, grand maître de sabre, reçut un jour la visite d’un confrère. Pour présenter ses trois fils à son ami, et montrer le niveau qu’ils avaient atteint en suivant son enseignement, Boduken prépara un petit stratagème:
Il cala un vase sur le coin d’une porte coulissante, de manière à ce qu’il tombe sur la tête de celui qui entrerait dans la pièce. Tranquillement assis avec son ami, tous deux face à la porte, Boduken appela son fils aîné.
Il cala un vase sur le coin d’une porte coulissante, de manière à ce qu’il tombe sur la tête de celui qui entrerait dans la pièce. Tranquillement assis avec son ami, tous deux face à la porte, Boduken appela son fils aîné.
Quand celui-ci se trouva devant la porte, il s’arrêta net. Après avoir entrebâillé la porte, il décrocha le vase avant d’entrer. Refermant la porte derrière lui, il replaça le vase avant d’aller saluer les deux maîtres.
"Voici mon fils aîné, dit Boduken en souriant, il a déjà atteint un bon niveau et est en voie de devenir maître"
Le second fils fut appelé. Il fit coulisser la porte et commença à entrer. Esquivant de justesse le vase qu’il faillit recevoir sur le crâne, il réussit à l’attraper au vol.
"C’est mon second fils, expliqua t-il à l’hôte, il a encore un long chemin à parcourir".
Quand ce fut le tour du fils cadet, celui-ci entra précipitamment et reçut lourdement le vase sur le cou. Mais avant que le vase ne touche le tatami, il dégaina son sabre et le cassa en deux.
"Et celui-là, reprit le Maître, c’est mon fils cadet. C’est un peu la honte de la famille, mais il est encore jeune."
"Voici mon fils aîné, dit Boduken en souriant, il a déjà atteint un bon niveau et est en voie de devenir maître"
Le second fils fut appelé. Il fit coulisser la porte et commença à entrer. Esquivant de justesse le vase qu’il faillit recevoir sur le crâne, il réussit à l’attraper au vol.
"C’est mon second fils, expliqua t-il à l’hôte, il a encore un long chemin à parcourir".
Quand ce fut le tour du fils cadet, celui-ci entra précipitamment et reçut lourdement le vase sur le cou. Mais avant que le vase ne touche le tatami, il dégaina son sabre et le cassa en deux.
"Et celui-là, reprit le Maître, c’est mon fils cadet. C’est un peu la honte de la famille, mais il est encore jeune."
3 commentaires:
Xavier,
Mes propos sont a ton billet ce que le bajonazo est à l'espada en la cruz,alors rapidos dans mon style totoliterraire je me fous completement des yosoyistes a l'affut de telle ou telle novela
les apoderados sont a priori ce que doit d'etre l'entraineur a l'athlete exit lucas et manaudou.
Je reviendrai pas sur mai 68 j'y etais et juste because demain j'ai un rdv polo je balance trois mots
liberte ,egalite fraternite qui garnissent les frontispices des mairies mais le maire etant trop petit il ne peut lever ses yeux ce qui en termes simples doit etre et sa vocation et le resultat attendu des gens honnetes...bref.
In fine je trouve pour ton jeune novillero qui se pose muchas questions que notre pays civilise et bonifie(?) par la presence du pote a Simon casas,se laisse aller a des egarements couplables(pleonasme ) et que comme je sais plus quoi dire dans ce monde pas serieux it's better que ce soit toi qui fasse le blog que moi car je te dis pas pour les fideles il en serait de suite comme a la messe des mon passage plus personne dans les travées.
Mais toi aussi Bruno tu es un maître dans l'art du commentaire détonnant ! Et surtout dans l'art d'être persuadé que tout texte lu appelle un commentaire de ta part !
;-) Sûrement pour le plus grand bonheur de nombre d'internautes !!!
"Pour le plus grand bonheur "?,ça m'étonnerait.On y comprend rien et ça doit être bien brumeux dans sa tête.Mais ,s'il se croit investi d'une mission...
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