Ils sont comme cela les humains, ils ont toujours besoin de se trouver un paradis en attente, assorti bien sûr de l'enfer qui va avec.
Ils ont épuisé au fil des siècles les diverses combinaisons des croyances pour lesquelles ils n'ont pas hésité à tuer ou à se faire tuer.
Tous les moteurs, tous les instincts, toutes les idées leurs furent bonnes pour alimenter cette fureur de croire et cette jouissance d'imposer, par la violence, quelque soit cette violence, leur point de vue et leur désir.
Car ils aiment avoir peur, ils aiment avoir mal, et puis ils aiment (en) avoir honte. Et par voie de conséquence, il aiment faire peur, ils aiment faire mal, et il aiment faire honte.
Tout cela a débuté, sans doute par les pulsions les plus basiquement vécues et exprimées. Tenez! la concupiscence par exemple. Le pire, c'est que c'était nécessaire d'aller barboter les Sabines du clan voisin. Oui, j'ai oublié de dire que tout cela naquit souvent de la nécessité. Copuler en famille, entre soi, sans aller tâter de l'Autre, on en a vite connu les limites et surtout les conséquences. Pas cons les ancêtres!
Il en est resté pas mal de traces fossilisées, des unions endogames des dieux-pharaons aux historiettes du sieur Œdipe, en passant par tous les rituels d'enlèvement jusqu'à nos dots contemporaines ou l’extraordinaire aveu incestueux du sieur LE PEN: «Je préfère ma soeur à ma cousine, ma cousine à ma voisine...»
Baiser, c'est bien, mais bouffer c'est mieux, ou du moins plus indispensable.
On s'est donc battu pour son lopin de territoire de chasse, avant que l'agriculture n'apparaisse et ne permette de rationaliser tout cela en substituant aux rixes, des guerres plus sophistiquées. C'est l'histoire qui depuis l'apparition des clans de chasseurs-cueilleurs jusqu'à notre ère s'est répétée pendant quelques millénaires.
Avec l'histoire est apparue la thésaurisation, avec l'argent, le sentiment de possession, le gain, l'avarice, le plaisir d'AVOIR.
Et puis il y a eu le POUVOIR, et l'histoire de la Grèce classique illustre les combats, durant 6 siècles entre différentes formes d'organisation: démocratie, tyrannie, royauté, oligarchie.
Rome apporte une nouveauté: l'idée impériale. Rome croit dans le droit et dans la loi. La sienne bien sûr, dont les autres, les barbares sont exclus des bienfaits. Pendant 5 siècles, se développe un système particulièrement bien huilé et d'une efficacité redoutable. Mais ce système finit par ne plus croire en lui même, et le géant finit par se détruire de l'intérieur.
Il faut dire qu'entre temps est apparue, issue de Palestine, une nouvelle idée: le MONOTHEISME. On commencera dés lors, et pendant 1200 ans, à s'égorger avec ce nouveau gadget. Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens, «Mon Dieu est mon droit»!
Les temps modernes ont foisonné de ces idées, souvent excellentes en soi -pour certaines- qui devenues IDEOLOGIES se sont avérées destructrices: la NATION, le PROGRES, la SCIENCE, la RACE, l’EGALITE.
Le problème vient toujours de la systématisation et d’un besoin irrépressible de se construire des idoles. Dés qu’une idée, ou un idéal devient LA solution à tout, on tutoie LA SOLUTION FINALE. Beaucoup d’entre nous ne parviennent pas à sortir d’une vision enfantine, d’un fantasme où la perfection, le BIEN ABSOLU, la panacée pourraient exister.
Le dernier avatar de cette inclination, le truc qu’on n’a pas encore essayé, mais qui n’en doutons pas est appelé à monter en puissance, c’est l’ECOLOGIE.
Avant que d’être politique, l’ECOLOGIE fut une science. En 1975, à l’Université de Pau, existait une formation à l’écologie (Professeur Claude DENDALETCHE), alors que l’écologie politique en était à ses balbutiements dans la logique post soixantehuitarde, et des derniers feux du babacoolisme. René DUMONT et son pull-over rouge, les manifs du Larzacq, les premiers grenouillages de Brice LALONDE, toute une époque…
On est passé depuis, de l’artisanat au stade industriel, et au fond de commerce qu’il convient de défendre. La petite Cécile DUFLOT est une communicante susceptible de charmer le bon peuple et les medias, plus que la révérende mère VOYNET et son austérité plutôt répulsive.
Il n’en demeure pas moins que derrière ces atours plus affriolants se cachent des Torquemadas au petit pied qui, si on leur confiait la barre, nous promettraient des lendemains pas piqués des hannetons.
J’entendais récemment les propos d’un cacique écologiste européen qui ne cachait pas son vif désir d’une limitation imposée des naissances en Europe, la Sainte Terre Mère se trouvant par trop encombrée de la pullulation de cette espèce nuisible: l’Homme. Une antienne qu’on retrouve sur les blogs ou sites animalistes («Homme pourri sadique: crève, salope!»).
Ce sentiment déplaisant et inquiétant que je ressens -et je ne crois pas être le seul- à l’écoute de moult discours écologistes ne tient pas tant aux questions posées, parfaitement légitimes et fondées, ni même aux solutions que l’on peut et que l’on doit écouter et prendre en considération. Il tient à l’extrêmisme, à la systématisation et pour tout dire au TOTALITARISME qu’on sent affleurer derrière, tout prêt à se déchaîner sans limites et sans nuances. Il tient aussi à ceux qui les développent, et on pourrait s’inquiéter, dans un monde où la démagogie et les discours simplistes et réducteurs séduisent, de voir nationalement ou localement certains prédicateurs gagner en puissance. A Orthez, on en connaît un ou deux spécimen particulièrement expressifs.
Comme dans toutes les dérives totalitaires, on sent là dessous, la volonté d’endoctriner plus que d’éduquer, d’interdire et de réprimer plus que de prévenir et d’informer, de condamner plus que de comprendre et de prendre en compte.
J’entendais récemment un spécialiste de l’eau jubilant de constater le renchérissement du coût de l’énergie et de l’eau, surtout pour ces cons de ruraux (ou de néo ruraux), qui avaient préféré leur villa à la campagne qu’un habitat urbain moins dispendieux: «Ils ont voulu se mettre au vert, les cons, se loger à meilleur compte, qu’ils payent! Ce qu'ils n'auront pas voulu payer pour leur logement, ils le paieront pour s'y rendre». On entrevoyait là une manière de jubilation, la même qu'on constate chez les "zanti-fumeurs" quand ils jouissent de la gêne des nicophiles frustrés. Ce qui les intéresse n'est pas tant de ne pas être incommodés, mais que les autres le soit devenus.
Tout cela rejoint nombre de débats quasiment pataphysiques, tel celui de l’ours, dont on préfère le destin aux hommes. De beaux intellectuels verdâtres, d’aimables hauts fonctionnaires discourent à Paris ou à Bruxelles d’étendre le Parc National des Pyrénées jusqu’aux portes d’Oloron, limitant ainsi la vie et l’activité des hommes qui, depuis aussi longtemps que l’ours y vivent. L’avis des autochtones n’est en rien pris en compte: il y a les pontifes parisiens "qui savent" et puis il y a les péquenauds locaux, à propos desquels on entend les mêmes discours que l’on retrouve ailleurs: des brutes frustes, plus ou moins ricardisées, sous l’emprise de passions primitives et par là même perverses.
On traite avec eux comme on a toujours procédé avec les sauvages: en détruisant les téocallis ou en fondant les chefs d’oeuvres aztèques, en brûlant les masques ou les idoles bambaras, en couvrant d’oripeaux ou de noix de cocos les seins dénudés des vahinés impudiques, en raillant les hurlements flamencos, les noubas soufis, ou les moulins à prière tibétains.
Faisant volontairement le choix de me rallier aux indigènes, je privilégierai toujours la condition de l’Homme et de son rapport à la terre qu’il occupe, avant que de considérer, avec attention certes, celle de l’ours.
Quand j’étais gosse, au début des années 60, j’ai vu, au petit matin d’une belle journée de juillet, 30 charognes de moutons et de brebis égorgés dans un pâturage du village d’Ascarat (64). L’ours n’avait emporté qu’un agneau dans sa bauge. Et oui! sans anthropomorphisme excessif, les ours aiment à jouer eux-aussi avec leurs proies, les vilains petits sadiques pervers.
A l’époque, il n’était que peu question d’indemnisation (de nos jours elle pose toujours problème). Cinq jours après, la battue avait exhibé la dépouille du coupable qui n’en était pas à son coup d’essai et comptait plus de 250 bestiaux au compteur. Ce fût la fête au son des txistus et des ttun-ttuns, et comme les autres, j’ai communié dans cette joie archaïque.
Pourtant on lui avait bien expliqué à l’ours, y compris en euskara. Mais le nounours, animal si sympathique n’avait pas compris. Peut-être le charme de B.B. ou la dialectique des ténors de la nomenklatura anti-spéciste auraient ils mieux réussi!
Tout cela me rappelle un chiste (trad: une blague), qu'un copain, ex-rabbin de Bayonne m'avait raconté et qui me fait toujours rire:
Quels sont les juifs les plus célèbres de l'histoire?
Il y a d'abord Abraham qui a découvert que: «Tout est Dieu»
Puis vint Moïse qui affirma: «Tout est Loi»
Jésus prétendit: «Tout est Amour»
Spinoza se différencia en prétendant que: «Tout est Pensée»
Marx n'était pas d'accord: «Tout est Politique»
Freud le contredit en avançant évidemment que «Tout est Sexe»
Finalement, Einstein mit tout le monde d'accord en concluant que:«Tout est relatif»
Oui tout est relatif!!!
Ils ont épuisé au fil des siècles les diverses combinaisons des croyances pour lesquelles ils n'ont pas hésité à tuer ou à se faire tuer.
Tous les moteurs, tous les instincts, toutes les idées leurs furent bonnes pour alimenter cette fureur de croire et cette jouissance d'imposer, par la violence, quelque soit cette violence, leur point de vue et leur désir.
Car ils aiment avoir peur, ils aiment avoir mal, et puis ils aiment (en) avoir honte. Et par voie de conséquence, il aiment faire peur, ils aiment faire mal, et il aiment faire honte.
Tout cela a débuté, sans doute par les pulsions les plus basiquement vécues et exprimées. Tenez! la concupiscence par exemple. Le pire, c'est que c'était nécessaire d'aller barboter les Sabines du clan voisin. Oui, j'ai oublié de dire que tout cela naquit souvent de la nécessité. Copuler en famille, entre soi, sans aller tâter de l'Autre, on en a vite connu les limites et surtout les conséquences. Pas cons les ancêtres!
Il en est resté pas mal de traces fossilisées, des unions endogames des dieux-pharaons aux historiettes du sieur Œdipe, en passant par tous les rituels d'enlèvement jusqu'à nos dots contemporaines ou l’extraordinaire aveu incestueux du sieur LE PEN: «Je préfère ma soeur à ma cousine, ma cousine à ma voisine...»
Baiser, c'est bien, mais bouffer c'est mieux, ou du moins plus indispensable.
On s'est donc battu pour son lopin de territoire de chasse, avant que l'agriculture n'apparaisse et ne permette de rationaliser tout cela en substituant aux rixes, des guerres plus sophistiquées. C'est l'histoire qui depuis l'apparition des clans de chasseurs-cueilleurs jusqu'à notre ère s'est répétée pendant quelques millénaires.
Avec l'histoire est apparue la thésaurisation, avec l'argent, le sentiment de possession, le gain, l'avarice, le plaisir d'AVOIR.
Et puis il y a eu le POUVOIR, et l'histoire de la Grèce classique illustre les combats, durant 6 siècles entre différentes formes d'organisation: démocratie, tyrannie, royauté, oligarchie.
Rome apporte une nouveauté: l'idée impériale. Rome croit dans le droit et dans la loi. La sienne bien sûr, dont les autres, les barbares sont exclus des bienfaits. Pendant 5 siècles, se développe un système particulièrement bien huilé et d'une efficacité redoutable. Mais ce système finit par ne plus croire en lui même, et le géant finit par se détruire de l'intérieur.
Il faut dire qu'entre temps est apparue, issue de Palestine, une nouvelle idée: le MONOTHEISME. On commencera dés lors, et pendant 1200 ans, à s'égorger avec ce nouveau gadget. Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens, «Mon Dieu est mon droit»!
Les temps modernes ont foisonné de ces idées, souvent excellentes en soi -pour certaines- qui devenues IDEOLOGIES se sont avérées destructrices: la NATION, le PROGRES, la SCIENCE, la RACE, l’EGALITE.
Le problème vient toujours de la systématisation et d’un besoin irrépressible de se construire des idoles. Dés qu’une idée, ou un idéal devient LA solution à tout, on tutoie LA SOLUTION FINALE. Beaucoup d’entre nous ne parviennent pas à sortir d’une vision enfantine, d’un fantasme où la perfection, le BIEN ABSOLU, la panacée pourraient exister.
Le dernier avatar de cette inclination, le truc qu’on n’a pas encore essayé, mais qui n’en doutons pas est appelé à monter en puissance, c’est l’ECOLOGIE.
Avant que d’être politique, l’ECOLOGIE fut une science. En 1975, à l’Université de Pau, existait une formation à l’écologie (Professeur Claude DENDALETCHE), alors que l’écologie politique en était à ses balbutiements dans la logique post soixantehuitarde, et des derniers feux du babacoolisme. René DUMONT et son pull-over rouge, les manifs du Larzacq, les premiers grenouillages de Brice LALONDE, toute une époque…
On est passé depuis, de l’artisanat au stade industriel, et au fond de commerce qu’il convient de défendre. La petite Cécile DUFLOT est une communicante susceptible de charmer le bon peuple et les medias, plus que la révérende mère VOYNET et son austérité plutôt répulsive.
Il n’en demeure pas moins que derrière ces atours plus affriolants se cachent des Torquemadas au petit pied qui, si on leur confiait la barre, nous promettraient des lendemains pas piqués des hannetons.
J’entendais récemment les propos d’un cacique écologiste européen qui ne cachait pas son vif désir d’une limitation imposée des naissances en Europe, la Sainte Terre Mère se trouvant par trop encombrée de la pullulation de cette espèce nuisible: l’Homme. Une antienne qu’on retrouve sur les blogs ou sites animalistes («Homme pourri sadique: crève, salope!»).
Ce sentiment déplaisant et inquiétant que je ressens -et je ne crois pas être le seul- à l’écoute de moult discours écologistes ne tient pas tant aux questions posées, parfaitement légitimes et fondées, ni même aux solutions que l’on peut et que l’on doit écouter et prendre en considération. Il tient à l’extrêmisme, à la systématisation et pour tout dire au TOTALITARISME qu’on sent affleurer derrière, tout prêt à se déchaîner sans limites et sans nuances. Il tient aussi à ceux qui les développent, et on pourrait s’inquiéter, dans un monde où la démagogie et les discours simplistes et réducteurs séduisent, de voir nationalement ou localement certains prédicateurs gagner en puissance. A Orthez, on en connaît un ou deux spécimen particulièrement expressifs.
Comme dans toutes les dérives totalitaires, on sent là dessous, la volonté d’endoctriner plus que d’éduquer, d’interdire et de réprimer plus que de prévenir et d’informer, de condamner plus que de comprendre et de prendre en compte.
J’entendais récemment un spécialiste de l’eau jubilant de constater le renchérissement du coût de l’énergie et de l’eau, surtout pour ces cons de ruraux (ou de néo ruraux), qui avaient préféré leur villa à la campagne qu’un habitat urbain moins dispendieux: «Ils ont voulu se mettre au vert, les cons, se loger à meilleur compte, qu’ils payent! Ce qu'ils n'auront pas voulu payer pour leur logement, ils le paieront pour s'y rendre». On entrevoyait là une manière de jubilation, la même qu'on constate chez les "zanti-fumeurs" quand ils jouissent de la gêne des nicophiles frustrés. Ce qui les intéresse n'est pas tant de ne pas être incommodés, mais que les autres le soit devenus.
Tout cela rejoint nombre de débats quasiment pataphysiques, tel celui de l’ours, dont on préfère le destin aux hommes. De beaux intellectuels verdâtres, d’aimables hauts fonctionnaires discourent à Paris ou à Bruxelles d’étendre le Parc National des Pyrénées jusqu’aux portes d’Oloron, limitant ainsi la vie et l’activité des hommes qui, depuis aussi longtemps que l’ours y vivent. L’avis des autochtones n’est en rien pris en compte: il y a les pontifes parisiens "qui savent" et puis il y a les péquenauds locaux, à propos desquels on entend les mêmes discours que l’on retrouve ailleurs: des brutes frustes, plus ou moins ricardisées, sous l’emprise de passions primitives et par là même perverses.
On traite avec eux comme on a toujours procédé avec les sauvages: en détruisant les téocallis ou en fondant les chefs d’oeuvres aztèques, en brûlant les masques ou les idoles bambaras, en couvrant d’oripeaux ou de noix de cocos les seins dénudés des vahinés impudiques, en raillant les hurlements flamencos, les noubas soufis, ou les moulins à prière tibétains.
Faisant volontairement le choix de me rallier aux indigènes, je privilégierai toujours la condition de l’Homme et de son rapport à la terre qu’il occupe, avant que de considérer, avec attention certes, celle de l’ours.
Quand j’étais gosse, au début des années 60, j’ai vu, au petit matin d’une belle journée de juillet, 30 charognes de moutons et de brebis égorgés dans un pâturage du village d’Ascarat (64). L’ours n’avait emporté qu’un agneau dans sa bauge. Et oui! sans anthropomorphisme excessif, les ours aiment à jouer eux-aussi avec leurs proies, les vilains petits sadiques pervers.
A l’époque, il n’était que peu question d’indemnisation (de nos jours elle pose toujours problème). Cinq jours après, la battue avait exhibé la dépouille du coupable qui n’en était pas à son coup d’essai et comptait plus de 250 bestiaux au compteur. Ce fût la fête au son des txistus et des ttun-ttuns, et comme les autres, j’ai communié dans cette joie archaïque.
Pourtant on lui avait bien expliqué à l’ours, y compris en euskara. Mais le nounours, animal si sympathique n’avait pas compris. Peut-être le charme de B.B. ou la dialectique des ténors de la nomenklatura anti-spéciste auraient ils mieux réussi!
Tout cela me rappelle un chiste (trad: une blague), qu'un copain, ex-rabbin de Bayonne m'avait raconté et qui me fait toujours rire:
Quels sont les juifs les plus célèbres de l'histoire?
Il y a d'abord Abraham qui a découvert que: «Tout est Dieu»
Puis vint Moïse qui affirma: «Tout est Loi»
Jésus prétendit: «Tout est Amour»
Spinoza se différencia en prétendant que: «Tout est Pensée»
Marx n'était pas d'accord: «Tout est Politique»
Freud le contredit en avançant évidemment que «Tout est Sexe»
Finalement, Einstein mit tout le monde d'accord en concluant que:«Tout est relatif»
Oui tout est relatif!!!
Xavier KLEIN
Campagne PETA contre l'usage du lait animal.
3 commentaires:
Très cher Xavier,
Eh, oh!... Larzacq! LarzacQ!... Et pourquoi pas Pauillacq tant qu'on y est!... Sachez donc que chez nous, c'est à dire au ci-devant royaume de France - hors celui de Navarre, Larzacq se dit Larzac, et Pauillac itou (tiens, Pauillaquitou ça ferait "petit Pauillac", un peu comme Paquito ça fait "petit Paco"... sauf que, foutre Dieu, de "petit Pauillac" il n'y pas: rien que des Grands, oui Môssieu!...)
Bref, pour redevenir sérieux (!), tes histoires d'ours - de vrais ours dans la vraie vie de vrais gens, ça me fait furieusement penser à ma Provence natale, terre multi-millénaire de transhumance ovine, et à ses histoires de (vrais) loups en alpages, avec de (vrais) bergers - avant qu'ils ne fussent devenus de banals "gestionnaires de troupeaux" (il y a tant désormais d'écoles de gestion qu'il faut bien recycler certains invendus...).
Bref encore, lorsque la Señora Dolores Aguirre, tout de même que le Señor Moreno de la Cova, se seront faits "gestionnaires de troupeaux", nous n'irons plus en Orthez (c'est comme ça qu'on dit?)... Mais, ça semble pas être demain la veille!
Au fait, avant que cela soit interdit par les écolo-terroristes, levons notre verre (de Pauillacq?... ou d'ailleurs) à la - fragile - santé de tous ces buveurs d'eau.
Abrazo - Bernard
Donc LarzaC cher Bernard. Sans doute l'habitude de parler d'Arzacq.
Pourtant sanq Q, que la vie est triste!
La plupart des écolos sont devenus des politiciens avides de pouvoir, prêts à tous les reniements pour l'obtenir ou le conserver. Rien que de très ordinaire.
Mais je pense aussi que la frange la plus radicale (et en particulier les animalistes), par son anti-humanisme, est sûrement, comme tu le dis, un véritable danger pour l'humanité, un danger potentiellement équivalent à celui des nazis (qui furent d'ailleurs précurseurs en culte de la nature et animalisme).
Là où ça se complique c'est que c'est aussi dans le mouvement écologiste que l'on trouve, selon moi, les idées les plus intéressantes pour sortir du monde grotesque dans lequel nous vivons...
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