Mise en ligne d'un texte de recherche en plusieurs parties sur les liens historiques étroits entre les courants d'extrême-droite et l'animalisme.
30 janvier 1933: Adolf Hitler devient chancelier
Dés cette date et pendant l'année 1933, les nazis font passer la série de lois et de décrets la plus développée qui existe en Europe, en faveur du statut et de la protection animale. La plupart de ces lois est d'ailleurs toujours en vigueur.
Mais déjà dès 1927, des députés nazis au Reichstag appelaient à des sanctions contre les cruautés envers les animaux et spécifiquement contre les bouchers kashers.
Le 16 août 1933, Hermann Göring, en tant que Premier Ministre de Prusse, conformément aux voeux d'Hitler, annonça préalablement une interdiction, notamment de la vivisection, confirmée et précisée le 5 septembre 1933, par huit conditions limitatives, justifiées par la «nécessité de sacrifier certains individus, à l'intérêt collectif», il concluait que ceux qui «croient toujours qu'ils peuvent continuer à traiter des animaux comme des propriétés inanimées» seraient envoyée en camps de concentration.
Dés cette date et pendant l'année 1933, les nazis font passer la série de lois et de décrets la plus développée qui existe en Europe, en faveur du statut et de la protection animale. La plupart de ces lois est d'ailleurs toujours en vigueur.
Mais déjà dès 1927, des députés nazis au Reichstag appelaient à des sanctions contre les cruautés envers les animaux et spécifiquement contre les bouchers kashers.
Le 16 août 1933, Hermann Göring, en tant que Premier Ministre de Prusse, conformément aux voeux d'Hitler, annonça préalablement une interdiction, notamment de la vivisection, confirmée et précisée le 5 septembre 1933, par huit conditions limitatives, justifiées par la «nécessité de sacrifier certains individus, à l'intérêt collectif», il concluait que ceux qui «croient toujours qu'ils peuvent continuer à traiter des animaux comme des propriétés inanimées» seraient envoyée en camps de concentration.
A noter que les accusations de vivisection furent dés lors couramment employées à l’encontre de scientifiques d’origine juive.
On sait comment, par la suite, les expérimentations médicales furent conduites sur des déportés juifs ou tziganes et des prisonniers russes, notamment à Auschwitz par le Docteur Mengele. Il n'est pas indifférent de se rappeler que devant l'ineptie des résultats constatés sur des prisonniers réduits à l'état de loques humaines, le Dr Hans Nachtheim, par exemple, dut se résoudre à confirmer les résultats sur des lapins.
Le 28 août 1933, Göring annonçait à la radio: «- Un interdit absolu et permanent sur la vivisection n'est pas seulement une loi nécessaire pour protéger des animaux et montrer de la sympathie pour leur douleur, mais c'est aussi une loi pour l'humanité elle-même....J'annonce la prohibition immédiate de la vivisection et sa criminalisation en Prusse. Le coupable sera envoyé dans un camp de concentration, jusqu'à sa condamnation effective.»
L'avertissement n'était pas de pure forme puisqu'un pêcheur se retrouva incarcéré en camp de concentration pour avoir prélevé, comme appât, des cuisses de grenouille...
Le 24 novembre 1933, Adolf Hitler introduit le Reichstierschutzgesetz (loi du Reich de protection de l'animal) en lançant le mot d'ordre: «Im neuen Reich darf es keine Tierquälerei mehr geben.» («dans le nouveau Reich, plus aucune cruauté envers l'animal ne sera admise») discours radio-diffusé du 1 février 1933.
Clemens Giese et Waldemar Kahler, les deux légistes du Ministère de l'Intérieur allemand responsables de l'élaboration du texte législatif, ont précisé dans leur commentaire juridique, que selon la loi, l'animal devait être «um seiner selbst willen geschützt» (protégés pour eux-mêmes) et «Objekt eines weit über die bisherigen Bestimmungen hinausgehenden Schutzes» (objet d'une protection sortant des définitions jusqu'alors admises).
Cette loi innove en abolissant clairement la traditionnelle distinction entre animaux domestiques et sauvages et définit comme sujets de droit «Toutes les créatures vivantes, biologiquement et communément considérées comme des animaux. Juridiquement et pénalement il n'y a aucune distinction entre animaux domestiques et sauvages, animaux supérieurs ou inférieurs, animaux utiles ou nuisibles.»
Ces premiers pas furent suivis de bien d'autres:
3 juillet 1934: Reichsjagdsgesetz, loi de restriction de la chasse du Reich.
1 juillet 1935: Naturschutzgesetz, loi de protection de la nature.
13 novembre 1937: loi sur le transport automobile des animaux.
8 septembre 1938: loi sur le transport par rail des animaux.
Dès 1940, avec les restrictions de guerre, des mesures furent envisagées concernant l’alimentation des animaux de compagnie, elles se traduisirent, sur intervention personnelle d’Hitler à des interdictions ne concernant que les non-aryens.
On sait comment, par la suite, les expérimentations médicales furent conduites sur des déportés juifs ou tziganes et des prisonniers russes, notamment à Auschwitz par le Docteur Mengele. Il n'est pas indifférent de se rappeler que devant l'ineptie des résultats constatés sur des prisonniers réduits à l'état de loques humaines, le Dr Hans Nachtheim, par exemple, dut se résoudre à confirmer les résultats sur des lapins.
Le 28 août 1933, Göring annonçait à la radio: «- Un interdit absolu et permanent sur la vivisection n'est pas seulement une loi nécessaire pour protéger des animaux et montrer de la sympathie pour leur douleur, mais c'est aussi une loi pour l'humanité elle-même....J'annonce la prohibition immédiate de la vivisection et sa criminalisation en Prusse. Le coupable sera envoyé dans un camp de concentration, jusqu'à sa condamnation effective.»
L'avertissement n'était pas de pure forme puisqu'un pêcheur se retrouva incarcéré en camp de concentration pour avoir prélevé, comme appât, des cuisses de grenouille...
Le 24 novembre 1933, Adolf Hitler introduit le Reichstierschutzgesetz (loi du Reich de protection de l'animal) en lançant le mot d'ordre: «Im neuen Reich darf es keine Tierquälerei mehr geben.» («dans le nouveau Reich, plus aucune cruauté envers l'animal ne sera admise») discours radio-diffusé du 1 février 1933.
Clemens Giese et Waldemar Kahler, les deux légistes du Ministère de l'Intérieur allemand responsables de l'élaboration du texte législatif, ont précisé dans leur commentaire juridique, que selon la loi, l'animal devait être «um seiner selbst willen geschützt» (protégés pour eux-mêmes) et «Objekt eines weit über die bisherigen Bestimmungen hinausgehenden Schutzes» (objet d'une protection sortant des définitions jusqu'alors admises).
Cette loi innove en abolissant clairement la traditionnelle distinction entre animaux domestiques et sauvages et définit comme sujets de droit «Toutes les créatures vivantes, biologiquement et communément considérées comme des animaux. Juridiquement et pénalement il n'y a aucune distinction entre animaux domestiques et sauvages, animaux supérieurs ou inférieurs, animaux utiles ou nuisibles.»
Ces premiers pas furent suivis de bien d'autres:
3 juillet 1934: Reichsjagdsgesetz, loi de restriction de la chasse du Reich.
1 juillet 1935: Naturschutzgesetz, loi de protection de la nature.
13 novembre 1937: loi sur le transport automobile des animaux.
8 septembre 1938: loi sur le transport par rail des animaux.
Dès 1940, avec les restrictions de guerre, des mesures furent envisagées concernant l’alimentation des animaux de compagnie, elles se traduisirent, sur intervention personnelle d’Hitler à des interdictions ne concernant que les non-aryens.
Le 15 février 1942, un décret interdisait aux juifs la possession d’un animal de compagnie.
Ce corpus législatif extrêmement détaillé envisage et réglemente, avec l'obstination pointilleusement méthodique que l'on connaît à l'âme allemande, aussi bien la meilleure et plus agréable manière de ferrer un cheval, que le mode d'emploi pour cuire un homard sans l'ébouillanter vivant, l'utilisation des animaux dans les films, le gavage des volatiles en passant par l'interdiction de prélever des cuisses sur les grenouilles vivantes. C'est, encore à l'heure actuelle la législation la plus sévère et restrictive qui existe.
A la suite d'Adolph Hitler, nombre de dignitaires nazis tels Rudolf Hess, Joseph Goebbels, Alfred Rosenberg ou Heinrich Himmler pratiquaient le végétarisme plus ou moins rigoureusement ou professaient des opinions ouvertement environnementalistes ou conservationnistes. Himmler intervint à de multiples reprises contre la chasse.
Ces opinions qui ne constituent pas un élément central de la doctrine nazie, s'inscrivent toutefois pleinement dans sa logique et s'y rattachent périphériquement. Hitler est systématiquement présenté par la propagande nazie comme un grand ami des animaux que l’on se plait à filmer jouant avec son berger allemand (natürlich!) Blondie.
Autant l'idéalisation de la nature, que les théories naturistes et naturalistes, issues du romantisme et du néo-paganisme panthéiste wagnérien conduisent le nazisme à une conception animaliste. Ce penchant affirmé se trouve clairement confirmé par la référence permanente au darwinisme social d'Herbert Spencer (application perverse des théories de l'évolution et notamment de la sélection naturelle aux populations et aux sociétés humaines).
Le nazisme comme ses cousins latins (fascisme italien, Garde d'Acier roumaine, etc.) s'affirme clairement comme anti-humaniste et professe un mépris voire une haine féroce de tout ce qui procède du genre humain. Il s'avère donc logique et naturel qu'il ait trouvé toutes les vertus à l'animalisme.
La sémantique nazie, l'emploi et même l'abus, à travers discours, symbolique, et comme nous venons de le montrer, la législation, survalorisent l'image animale.
Il n'est que d'évoquer l'abondance des représentations totémiques d'Adolf Hitler figuré comme l'aigle (Berchtesgaden: «nid de l'aigle») ou le loup (treize Führerbunker ou abris du führer furent construits de Gierloz en Pologne à Margival en Picardie ou Brûly-de-Pesche dans les Ardennes et étaient dénommés Wolfsschlucht: repaire du loup, suivi d'un numéro).
Ce corpus législatif extrêmement détaillé envisage et réglemente, avec l'obstination pointilleusement méthodique que l'on connaît à l'âme allemande, aussi bien la meilleure et plus agréable manière de ferrer un cheval, que le mode d'emploi pour cuire un homard sans l'ébouillanter vivant, l'utilisation des animaux dans les films, le gavage des volatiles en passant par l'interdiction de prélever des cuisses sur les grenouilles vivantes. C'est, encore à l'heure actuelle la législation la plus sévère et restrictive qui existe.
A la suite d'Adolph Hitler, nombre de dignitaires nazis tels Rudolf Hess, Joseph Goebbels, Alfred Rosenberg ou Heinrich Himmler pratiquaient le végétarisme plus ou moins rigoureusement ou professaient des opinions ouvertement environnementalistes ou conservationnistes. Himmler intervint à de multiples reprises contre la chasse.
Ces opinions qui ne constituent pas un élément central de la doctrine nazie, s'inscrivent toutefois pleinement dans sa logique et s'y rattachent périphériquement. Hitler est systématiquement présenté par la propagande nazie comme un grand ami des animaux que l’on se plait à filmer jouant avec son berger allemand (natürlich!) Blondie.
Autant l'idéalisation de la nature, que les théories naturistes et naturalistes, issues du romantisme et du néo-paganisme panthéiste wagnérien conduisent le nazisme à une conception animaliste. Ce penchant affirmé se trouve clairement confirmé par la référence permanente au darwinisme social d'Herbert Spencer (application perverse des théories de l'évolution et notamment de la sélection naturelle aux populations et aux sociétés humaines).
Le nazisme comme ses cousins latins (fascisme italien, Garde d'Acier roumaine, etc.) s'affirme clairement comme anti-humaniste et professe un mépris voire une haine féroce de tout ce qui procède du genre humain. Il s'avère donc logique et naturel qu'il ait trouvé toutes les vertus à l'animalisme.
La sémantique nazie, l'emploi et même l'abus, à travers discours, symbolique, et comme nous venons de le montrer, la législation, survalorisent l'image animale.
Il n'est que d'évoquer l'abondance des représentations totémiques d'Adolf Hitler figuré comme l'aigle (Berchtesgaden: «nid de l'aigle») ou le loup (treize Führerbunker ou abris du führer furent construits de Gierloz en Pologne à Margival en Picardie ou Brûly-de-Pesche dans les Ardennes et étaient dénommés Wolfsschlucht: repaire du loup, suivi d'un numéro).
L'animal valorisé est chaque fois un prédateur, l'homme est mort...
Xavier KLEIN
Giese, Klemens and Kahler, Waldemar. «Das Deutsche Tierschutzrecht: Bestimmungen zum Schutz der Tiere». Berlin: Duncker and Humbolt, 1939
Sax, Boria. «Animals in the Third Reich: Pets, Scapegoats, and the Holocaust»
Luc Ferry, «Le Nouvel Ordre écologique, l’arbre, l’animal et l’homme», Paris, Bernard Grasset, 1992
Luc Ferry, Claudine Germé «Des animaux et des hommes, anthologie des textes remarquables écrits sur le sujet, du XVe siècle à nos jours», Paris, Livre de Poche, 1994
Luc Ferry, Claudine Germé «Des animaux et des hommes, anthologie des textes remarquables écrits sur le sujet, du XVe siècle à nos jours», Paris, Livre de Poche, 1994
11 commentaires:
hitler voulait prouver et faire croire au monde entier que les juifs étaient la dernière race après les crapauds,tous les moyens étaient bons pour les nazis puisqu'un juif valait moins qu'un rat.
essayez vous de démontrer d'une manière pseudo intellectuelle que les anti-corridas et les protecteurs des animaux sont des nazis qui s'ignorent? qu'ils prennent plus d'égards pour les animaux que pour les humains?
vous me décevez beaucoup...
trés iinteressant et recherché, on comprend mieux que des personnes comme Bardot militent en faveur du front national...
Attendez la fin de la série d'article avant d'être déçu(e)
Pour poursuivre, j'invite les curieux et curieuses à chercher sur leur moteur de recherche internautique, en tapant "Dalaï Lama et le weffen ss". J'ai discuté de ce sujet avec un ami bouddhiste, et lui aussi a balayé la chose en parlant de compassion dans ce geste d'accueil et de rencontre. Qui à tord et qui à raison, à chacun de se faire son opinion, mais le sujet est très riche et interroge grandement.
Lionel
Les humains sont des animaux, ceux qui mettent les humains d'un côté et les "animaux" de l'autre n'ont rien compris.
Personnalités végétariens:
Philosophes & Ecrivains :
Platon
Plutarque
Lamartine
Léon Tolstoï Léonard de Vinci
Martin Luther
Montaigne
Jean-Jacques Rousseau
Socrate
Voltaire
Marguerite Yourcenar
Scientifiques :
Charles Darwin
Albert Einstein
Théodore Monod
Isaac Newton
Pythagore
Politiciens :
Andrew Bartlett
Nick Brown
Chelsea Clinton
Gandhi
Jean-Marc Governatori
Dalaï Lama
Antoine Waechter
Musique :
Victoria Beckham
Kate Bush
Michel Sardou
Mylène Farmer
George Harrison (ex-membre des Beatles)
Michael Jackson
Avril Lavigne
Bob Marley
Chris Martin (chanteur de Coldplay)
Nadiya
Chris Novoselic (Nirvana)
Vanessa Paradis
Paul et Linda McCartney (ex-Beatles)
Pink
Rolling Stones
Larry Mullen Junior (U2)
Cinéma :
Brigitte Bardot
Orlando Bloom
Penelope Cruz
David Duchovny
Vanessa Ferlito
Jude Law
Tobey Maguire
Sophie Marceau
Alyssa Milano
Brad Pitt
Natalie Portman
Alicia Silverstone
Sylvester Stallone
Télévision & radio :
Pamela Anderson
Kristen Bell
Traci Bingham
Lisa Edelstein
Peter Falk
Paris Hilton
Eva Longoria
Alyssa Milano
Alexandra Paul
Sport :
Djamel Bouras
Laurence Lallement
Carl Lewis
Robert Millar
Alain Mimoun
Marco Olmo
Bill Pearl
Mode :
Adriana Karembeu
Victoria Cooper
Tous des nazis? Pathétique...
cette liste oublie Saint-just et Lucien Léger! De plus il y a des mensonges! Montaigne était chasseur (il chassait avec deux rois:Hnti III et Henri IV) et n'a arrêté de manger de la viande que par rescription médicale. Cette liste, de plus ne fait pas état des motivations (punition pour les religieux, économie pour Franklin, par exemple)...De plus elle montre qu'il y a finalement peu de grands hommes végétariens! En montrant souvenr des cas limite de vrais malades: Kellog, par exemple, monstre ayant créé un "bagne hygiéniste" comme bircher Benner...
Le végétarisme compensatoire, bof...en attendant l'idéologie de la anture mène toujours au totalitarisme...
Pour Hitler, il faut effectivement remonter à la tradition allemande, pus vaste. Et à une certaine radicalisation écologiste queel post- romantisme a illustrée. Von Polenz, qui est une source d'hitler est à lire: très belle illustration d'amour de la nature qui a mené à tout ce fatras dont le végtarisme est un élément... Il opposait la campagne, saine, la terre natale, le sol de la nation à l'industrie, considérée comme juive... la lignée naturiste pangermaniste a suivi... Anonyme est de mauvaise foi: on ne démontre pas, on montre et ça ne veut pas ire que tous els écolos et végétariens sont nazis, mais que ces attitudes sont fondamentales dans le nazisme! Et c'est là, indéniable, dans les textes! Que ce soit von Polenz ou riehl... De plus il n'est pas inifférent que René Dumont, candidat écolo, fut avant un collabo, travaillant au journal immonde d'André Bettencourt (oou, le mari de Madame Bettancourt) sous l'occupation tandis que, ans cette suite logique, l'Oréal soutient hulot, pas très clair lui non plus...
L'histoire u végétarisme moderne est assez inquiétante...mais il faudrait la connaître et refuser de fermer les yeux sur le réel qui est là, accessible... et que nous avons lue avant d'en parler, contrairemetn à anonyme qui n'a pas ce monomim de politesser, fait un procès d'intention, utilise l'argument publicitaire des grands hommes c'est à dire la propagande et n'a aucun argument pour nous contredire... Et oui, la culture s'oppose à la oensée de la nature et le respect des autres commence par la culture, par savoir de quoi on parle et non d'infliger des certitudes et des listes d e personnalités...avec beaucoup de gens du show biz, montrant aussi l'origine bourgeoise du végétarisme qui permet, effectivement ma dégustation du caviar à la cuiller d'argent dans un mépris élitiste si fréquent chez les végétariens...Le peuple, ce dégueulasse, bouffe des tripes, lui!
Nazi ou bourgeois...populiste ou nanti, il y a un végétarisme assez répugnant qui sévit aujourd'hui...
Voltaire n'était pas végétarien! encore une fausse citation! il adorait la poule au riz! waechter? L'ami écolo d' ozon, du front national, celui qui continue la tradition de l'écologie de droite avec la revue "éléments"? joli bonhomme!
Malhonnêté d'anomyme: "tous des nazis": personne n'a jamais dit ça!
de toute façon il n'y a pas d'opinion à avoir: le végetarisme est une composante du nazisme, c'est archi-démontré et la cuisinière diététicienne de l'école de Bircher d'Hitler, constanze Manziarli n'a quitté le Führer qu'au dernier moment et sur son ordre!
Mais c'est avant tout l'idéologie de la nature qui fonde le nazisme, le végétarisme et la protection animale suivent... c'est d'ailleurs passionnant et ç met en perspective les mouvements actuels...En particulier les forums végétariens petits-bourgeois dont la violence verbale est succulente et qui, eux, frisent les totalitarisme de près!
Eh oui, ces attitudes ne sont,pas très claires... Et Anonyme pareil! osez faire dire "tous des nazis"! on a jamais dit ça! L'affirmer c'est dégueulasse! partisan, totalitaire, immonde..et ça dévoile bien l'état d'esprit sordide d'un défenseur du végétarisme genre "je ne veux pas le savoir", la brute! quelle bassesse!
Dalaï lama? Elevé par un nazi..successeur de Thutpen gyatso, qui a écrit à hitler d'une façon enthousiaste!
Rappelons la "Mission Shrader" des Nazis au Tibet, qui admiraient ce "Royaume guerrier": Anonyme ignore tout de ces choses et se permet de parler!
Les Tibéains ne sont pas végétariens et le dalaï lama ctuel veut faire oublier ses sympathies nazies...pauvre tibet, coincé entre l'ancien régime faiut de tortures judiciaires et les Chinois actuels, il est mal parti...
Alors les humains sont des animaux, etc, etc...oui mais...ils ont commencé par enterrer leur mort, après leur avoir donné un nom;Ils ont mis ce nom dans leur mémoire, inventant l'histoire, la mémoire, l'avenir...le don du nom a aussi fait partie de l'invention de la poésie tandis que l'humain a posé les premiers gestes contre-nature: planter, semer puis élever... Seul, tout nu, mal armé, il s'est "fait lui-même" par sa lutte contre l'environnement hostile. a inventé l'art. Alors, on peut le séparer des autres animaux!
Que d'ignorance chez les défenseurs du végétarisme! Même pas de conscience humaine élementaire! Leur arrogance, leur ignorance donneuse de leçons est pourtant savoureuse! Quel orgueil, quelle prétention! quell paresse morale!
ah bon manger des animaux devient humaniste ?
merci pour la conscience humaine ..elementaire d un tueur en serie et fier de l etre , 55 milliards d animaux massacres chaque annee dans des camps de la mort ...ignores par des ignorants ou sadiques quand ils savent !
Apparemment les juifs ou pas d Israel ne font pas ce lien de l auteur qui n a rien compris au pourquoi de la chose
Israel 595 000 vegetariens 8,5 % de la population
ou alors il reste encore beaucoup de nazis dans l Allemagne d aujourd hui ?
Allemagne 7 380 000 vegetariens et 9% de la population
C est tres recent malgre tout historiquement, mais depuis des milliers d annees en Inde 450 000 000 de vegetariens 40% de la population
Le berceau du developpement et de la connaissance de l humanite, considere cette diete alimentaire comme imperatif pour le developpement de la conscience ,( et je comprend et sais pourquoi ) c est d ailleurs la que les nazis SS , qui cherchaient leurs origines et en recherche des valeurs perdues ou eliminees par 3 religions du meme livre , les ont retrouvees , en Inde et au Tibet. Et les enseignements ont ete reçus, sur cette diete en Inde et beaucoup d autres choses plus concretes au Tibet de l epoque en particulier.
Ce que j ai fait aussi , en Inde , et suis devenu vegetarien depuis plus de 25 ans , retour aux sources et decouvertes de bien des horizons .. je ne vis plus en Europe non plus , enfin si on peut encore appele ces pays europeens MDR )))
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