SENS GENERAL
(Del lat. genĭus).
1. m. Índole o condición según la cual obra alguien comúnmente. Es de genio apacible.
2. m. Disposición ocasional del ánimo por la cual este se manifiesta alegre, áspero o desabrido.
3. m. Mal carácter, temperamento difícil.
4. m. Capacidad mental extraordinaria para crear o inventar cosas nuevas y admirables.
5. m. Persona dotada de esta facultad. Calderón es un genio.
6. m. Índole o condición peculiar de algunas cosas. El genio de la lengua.
7. m. carácter ( firmeza y energía).
8. m. En la gentilidad, cada una de ciertas deidades menores, tutelares o enemigas.
9. m. Ser fabuloso con figura humana, que interviene en cuentos y leyendas orientales. El genio de la lámpara de Aladino.
10. m. En las artes, ángel o figura que se coloca al lado de una divinidad, o para representar una alegoría.
DICCIONARIO DE LA LENGUA ESPAÑOLA - Vigésima segunda edición REAL ACADEMIA ESPAÑOLA
(Del lat. genĭus).
1. m. Índole o condición según la cual obra alguien comúnmente. Es de genio apacible.
2. m. Disposición ocasional del ánimo por la cual este se manifiesta alegre, áspero o desabrido.
3. m. Mal carácter, temperamento difícil.
4. m. Capacidad mental extraordinaria para crear o inventar cosas nuevas y admirables.
5. m. Persona dotada de esta facultad. Calderón es un genio.
6. m. Índole o condición peculiar de algunas cosas. El genio de la lengua.
7. m. carácter ( firmeza y energía).
8. m. En la gentilidad, cada una de ciertas deidades menores, tutelares o enemigas.
9. m. Ser fabuloso con figura humana, que interviene en cuentos y leyendas orientales. El genio de la lámpara de Aladino.
10. m. En las artes, ángel o figura que se coloca al lado de una divinidad, o para representar una alegoría.
DICCIONARIO DE LA LENGUA ESPAÑOLA - Vigésima segunda edición REAL ACADEMIA ESPAÑOLA
Du latin genius (Génius (dieu qui donnait la vie à toutes choses), «génie» (dieu propre à chaque personne, à chaque lieu, dieu protecteur qui partage la vie d’une personne, ses fêtes…).
Le mot est issu d’une racine de l’indo-européen commun (voir le grec ancien γεννάν, gennan («générer», «former»)) qui a donné géniteur, génération, genèse, génital, progéniture, gens, gène, etc.
(Mythologie) Esprit ou démon qui, selon l’opinion des anciens, présidait à certains lieux, à des villes, etc. Il se dit aussi des gnomes, des sylphes, des ondins et autres personnages fantastiques, qu’on trouve dans les traditions populaires et dans les contes de fées.
Entité magique bonne ou mauvaise ayant une influence sur la destinée.
(Par extension) Personne qui par ses conseils ou ses exemples (Par extension) La personne dotée d’un tel talent.
(Par extension) La Qualité des esprits supérieurs qui les rend capables de créer, d’inventer, d’entreprendre des choses extraordinaires, etc.
Caractère propre et distinctif.
Allégorie, personnification des arts, de la science, de l’industrie, d’une idée abstraite.
(Militaire) Art de fortifier, d’attaquer, de défendre une place, un camp, un poste.
(Par extension) Corps des officiers des soldats qui font l’application de cet art.
EXPRESSIONS
Tener el genio vivo: ETRE UNE TÊTE DE MULE
Echar mal genio: DEVENIR GROGNON, FAIRE LA MAUVAISE TÊTE, BOUDER
Tener el genio vivo: ETRE UNE TÊTE DE MULE
Echar mal genio: DEVENIR GROGNON, FAIRE LA MAUVAISE TÊTE, BOUDER
DEFINITIONS TAURINES
GENIO: [au sens littéral: tempérament] Qualifie l'instinct défensif du toro. Quand sa nervosité naturelle s'accuse, il est porté à tenir la tête haute, à frapper violemment de la corne. Tandis que la bravoure commande l'instinct offensif du toro (ou sa charge), le genio suscite seulement sa défense de la tête. Ce sont deux réactions de la bête indépendante l'une de l'autre. La bravoure est un attribut de naissance; le genio se développe généralement avec l'âge de l'animal. Un peu de genio donne de l'émotion au combat, trop le rend difficile et particulièrement dangereux, incitant les toreros à prendre alors quelques précautions élémentaires. ("La Tauromachie", 1970, Claude Popelin, Seuil)
GENIO: [tempérament, caractère] Terme ambigu et difficile à traduire, entraînant souvent incompréhension et confusion. Pour les uns (dont les toreros) c'est un défaut, une déviance de la bravoure se manifestant par un comportement rugueux à tendance défensive. Le malentendu qu'ils installent dans la perception qu'ils ont du genio est tel que parfois ils le considèrent comme un début de sentido. Pour d'autres (dont beaucoup d'éleveurs) le genio résulterait d'un excès de qualités, fruit de la conjonction de caste, de bravoure et surtout d'impétuosité, donc un toro qu'il faut lidier sérieusement. De deux toros ayant la même bravoure on pourrait dire qu'a du genio celui dont la bravoure affleure, immédiatement mobilisable, prête à fonctionner à la moindre provocation, un toro qui comprend vite et le montre. D'où l'interprétation particulière donnée par les toreros.
Alors que la bravoure est peut-être un acquis génétique, un toro acquiert et développe une dose plus ou moins importante de genio lors des affrontements qu'il a régulièrement au campo avec ses congénères et ce caractère s'accroît avec l'âge. C'est un acquis d'apprentissage qui tempère la noblesse. En l'absence totale de genio, on constate un toro qui n'est plus noble mais se voit atteint de soseria, sorte de servilité imbécile, ce qui retire au combat son intérêt.
Pour l'aficionado torista, outre un excellent potentiel physique, un bon toro doit allier dans l'ordre bravoure, genio et noblesse. P.M. ("La Tauromachie, histoire et dictionnaire", 2003, sous la direction de Robert Bérard, collection Bouquins)
Alors que la bravoure est peut-être un acquis génétique, un toro acquiert et développe une dose plus ou moins importante de genio lors des affrontements qu'il a régulièrement au campo avec ses congénères et ce caractère s'accroît avec l'âge. C'est un acquis d'apprentissage qui tempère la noblesse. En l'absence totale de genio, on constate un toro qui n'est plus noble mais se voit atteint de soseria, sorte de servilité imbécile, ce qui retire au combat son intérêt.
Pour l'aficionado torista, outre un excellent potentiel physique, un bon toro doit allier dans l'ordre bravoure, genio et noblesse. P.M. ("La Tauromachie, histoire et dictionnaire", 2003, sous la direction de Robert Bérard, collection Bouquins)
GENIO: Signe de l'instinct défensif du taureau, qui charge avec hésitation, en relevant la tête. (http://www.cercle-taurin-biterrois.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=190&Itemid=60)(http://fr.wikipedia.org/wiki/Glossaire_de_la_tauromachie#G)
GENIO: Voir : nerf. NERF : Traduction: genio. Contrairement à la bravoure qui commande l'instinct offensif du taureau, le nerf ou "genio" commande son instinct défensif, plus particulièrement de la tête, ce qui le pousse à raccourcir sa charge, tenir la tête haute et frapper de la corne avant la fin de la passe. Le "genio" a ses degrés : si le taureau a peu de nerf, on parlera d'un taureau "aspero", s'il a trop de nerf, on parlera d'un taureau "bronco". Si la bravoure est un attribut de naissance, le "genio", apanage d'un taureau de caste s'accuse avec l'âge.(http://www.corrida.tv/data/Boutique/articles/1/dico.htm#G)
GENIO: TEMPERAMENT. On dit d?un toro qu?il a ?du genio? quand il a du nerf alli? ? une tr?s grande bravoure. (http://www.echoducallejon.com/lexiquetaurin.php?pageNum_pagelexique=1&totalRows_pagelexique=19&start=g&Submit=Chercher) Beaucoup d'interrogations à l'Echo?
Je m'abstiens pour l'instant. Le débat est ouvert.
ATTENTION ABSENT SAMEDI (VIC) et DIMANCHE et LUNDI (photos et film des novillos et toros d'Orthez)
1 commentaire:
n'oublions pas l'impayable inc vention des gaznaderos et de nos géniaux aficionadeaux praticaux: manso al caballo y bravo en la muleta!
noble, noblote, serait une forme de bravoure, car l'idiot accepte la soumission de la muleta!
bonne nuit et bon vic, me cago!
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