tag:blogger.com,1999:blog-431750940658319721.post5904407750465970180..comments2023-10-18T15:58:27.977+02:00Comments on LA BREGA: AMENDE HONORABLEUnknownnoreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-431750940658319721.post-55825728903210068782009-03-09T15:56:00.000+01:002009-03-09T15:56:00.000+01:00Et oui Bernard, Marcel c'est celui de la Jument Ve...Et oui Bernard, Marcel c'est celui de la Jument Verte, pas celui du noir toro...Xavier KLEINhttps://www.blogger.com/profile/07925280004914194914noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-431750940658319721.post-28667587016791083762009-03-09T11:14:00.000+01:002009-03-09T11:14:00.000+01:00Marc, Si je parts du principe simple que la "taqui...Marc, <BR/><BR/>Si je parts du principe simple que la "taquilla" c'est nous, c'est à dire vous, moi, etc; qu'ensuite et quant à moi, je ne peux décider que pour moi, je me suis fait modestement la raison suivante que je ne donne ma taquilla qu'en fonction de mes goûts (plutôt Céret que Dax pour faire vite) - me disant que c'est mon argent qui fait vivre ceux que je finance... Le reste est perte de temps (ex: aller à Dax le 7 septembre 2008, y payer donc une place, puis "se faire du mauvais sang" en fulminant contre l'"indulto" de Desgarbado!): ainsi que l'eussent dit les marxites de la grande époque, pour gérer ce type de contradiction (aller à une corrida dont on aura toutes les chances de ne rien attendre), mieux vaut la traiter préventivement (ne pas aller à une corrida où on aura toute chance de n'avoir rien à attendre)... <BR/>Bref, pour moi, déplorer ne sert à rien: j'essaie de faire ce que je peux à la hauteur de mes moyens...<BR/><BR/>Bien à vous - Bernard<BR/><BR/>PS : Gardois d'origine - quoique né à ARLES (!), je crois de mémoire que le regretté AYME se prénommait Ferdinand (à vérifier donc)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-431750940658319721.post-35260250979067342292009-03-09T09:40:00.000+01:002009-03-09T09:40:00.000+01:00les fameux "goûts du public" sont simples à appréh...les fameux "goûts du public" sont simples à appréhender : ils coïncident avec le résultat de la taquilla... <BR/>1)les figuras remplissent les arènes.<BR/>2) Mise à part trois ou quatre arènes primordiales, elles n'ont pas envie d'y prouver quoi que ce soit donc de prendre du bétail sérieux<BR/>3)résultat des courses : (et on ne peut mieux dire...) les après-midi où on voit les figures face à des bédigues générent infiniment plus de recettes que l'inverse<BR/>4) suit donc le discours qu'on connait : les toros artistes et toutes ces conneries...<BR/>Si on rajoute le fait que les toreros choisissent tout : non celui-là je ne veux pas toréer avec lui etc.... ça manque de peps<BR/><BR/>Quant j'étais jeune la programmation de marcel Aymé (je crois) à Nimes était assez stimulante : il mettait la star puis celui qui voulait le détrôner et enfin un mort de faim qui avait tout à gagner à se sortir les tripes (au sens figuré, hein...)Marc Delonhttps://www.blogger.com/profile/17276841415134670614noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-431750940658319721.post-54821038482918842122009-03-09T09:13:00.000+01:002009-03-09T09:13:00.000+01:00Xavier,Tu l'as déjà développé dans un envoi précéd...Xavier,<BR/><BR/>Tu l'as déjà développé dans un envoi précédent (je préfère "envoi" à "post"...), et je le reprends ici parce que ça me paraît central. <BR/>Nous ne rendrons notre position tenable (au sens quasi militaire du mot tenir) que si, d'une part (vis à vis des "antis") nous disons clairement que le "toro de combat" n'est pas plus naturellement sauvage que le "cheval de course" n'est naturellement un coureur élégant - mais qu'au contraire les deux sont identiquement des "produits de culture", c'est à dire des produits de notre bon plaisir d'Homo sapiens sapiens, s'exerçant sur un donné naturel que nous aurons justement modelé à notre goût. Et, dans cette ligne de vue, le "toro de combat" est un animal élevé - autant que faire se peut - hors de toute "familiarité" avec l'Homme (au sens où l'a développé Francis WOLFF in "Philosophie de la corrida"), en cherchant à conserver au travers de la sélection zootechnique un caractère - comportement - de "fureur" (originellement présent chez Bos taurus hispanicus), le portant à charger - aller vers pour le faire fuir - tout ce qui empiète sur son territoire (le fameux "terrain du toro" chers aux aficionados). Et si, d'autre part, nous disons à nos "amis taurins" portés vers le modernisme du "goût du public à satisfaire", que le risque de laisser se perdre la "fureur" - au motif que le "combat" doit se faire désormais et inexorablement "spectacle" (et qu'à l'issue d'un spectacle il n'y a bien évidemment plus de mort!) - contient en lui-même la fin de la corrida comme combat à mort et dans l'honneur ("Le toro doit être combattu et non abattu" - F. WOLFF) entre un homme et un toro... <BR/>Remettons la "fureur" du toro au centre du raisonnement et, me semble-t-il, tout deviendra ou redeviendra plus clair (par exemple, qu'est-ce au fond qu'un élevage "décasté" sinon un élevage dans lequel les toros ont - momentanément sinon définitivement - perdu leur "fureur" comportementale vis à vis de toutes les sollicitations des différentes "suerte taurines"?...) <BR/><BR/>A suivre?...<BR/><BR/>Bien à toi - Bernard<BR/><BR/>PS : combien l'ami Claude nous manque! (originaire du Sud-Est, je l'ai longtemps lu avec passion dans "TOROS", avant que mon transfert en Sud-Ouest m'ait donné l'occasion et le plaisir de le rencontrer - hélas pour moi bien trop fugacement pour pouvoir échanger...)Anonymousnoreply@blogger.com